Yves Perron dresse le bilan.

Pointe-du-Lac, le 15 décembre 2023 – Malgré que la dernière session ait été assez houleuse, Yves Perron dresse un bilan positif de la dernière session qui vient de se terminer à Ottawa. Fidèle à son habitude de réaliser un travail de fond basé sur le contenu, le député aura planché sur de nombreux dossiers, dont celui de la stabilisation des prix à l’épicerie. Après avoir réalisé une étude exhaustive en comité au printemps dernier sur ce sujet, le député et ses collègues reçoivent de nouveau les PDG des chaînes du secteur de l’alimentation.

Cette situation fait suite à la convocation de ces chefs d’entreprise par le ministre Champagne à une réunion pour trouver une solution à la hausse des prix en épicerie. Cette opération de communication, visant à améliorer l’image du gouvernement, a ramené le comité sur les mêmes conclusions qu’au printemps dernier, sans obtenir de nouvelles informations, ni résultat. Cette manœuvre du ministre n’a aucunement bonifié le travail que le comité permanent de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire a effectué, en parallèle du Bureau de la concurrence qui a réalisé une étude semblable. Les faits sont clairs : il faut imposer plus de transparence dans ce secteur et y augmenter la concurrence réelle.

« Plutôt que de convoquer les PDG comme figurants dans une pièce de théâtre, le ministre doit travailler à mettre en place les recommandations du comité visant à forcer les entreprises à fournir leurs états financiers ventilés pour que le Bureau de la concurrence puisse déterminer si les hausses de profit viennent bien du département de la pharmacie. De plus, il faut cesser de tolérer une trop grande concentration dans des secteurs clés et favoriser l’entrée de nouveaux joueurs dans le secteur de l’épicerie. Soutenir adéquatement ceux qui produisent la nourriture, nos producteurs agricoles et notre industrie agroalimentaire pourrait également aider grandement à maintenir notre alimentation sécuritaire et abordable. », explique le député.

À cet effet, l’agriculture et l’agroalimentaire étant au cœur de ses préoccupations, Yves Perron a pris le pouls des entrepreneurs des deux secteurs à de nombreuses reprises. Le signal d’alarme est le même partout : les liquidités manquent et le taux d’endettement est troublant.

« On s’est battus sans relâche pour obtenir le report du Compte d’urgence pour les entreprises. La voie que le gouvernement veut emprunter va étouffer nos entreprises, autant dans la restauration et dans la transformation que sur nos fermes. L’endettement des agriculteurs a augmenté en flèche, ça n’a pas de bon sens de voir le fédéral continuer à empiler un tel poids sur le dos de ceux qui, entre autres, ont subi jusqu’à 60% de pertes cet été! », s’indigne le porte-parole en agriculture et agroalimentaire.

« Il faut de toute urgence apporter une aide aux producteurs en difficulté suite aux conditions météo imprévisibles, que ce soit les pluies au sud ou la sécheresse au nord. Puis, dans le contexte des changements climatiques, nous devons revoir la façon dont nous assurons les risques lors de la production afin de ne pas faire porter l’ensemble du poids sur les producteurs agricoles. Il faut revoir les programmes et sortir de la boîte », précise Yves Perron.

Le député aura aussi mené une bataille concernant la révision par un comité indépendant de la politique gouvernementale sur l’édition génomique, qui, selon des documents révélés par Radio-Canada, aurait été ficelée par l’industrie, selon ses intérêts. Le Fonds d’infrastructures alimentaires locales (FIAL) aura aussi été dans sa ligne de mire, ayant subi des changements de critères au milieu de la période d’appels de projets. Ces changements auront entraîné le refus arbitraire sans étude de plusieurs projets au Québec, qui auraient pu contribuer à assurer une meilleure résilience alimentaire.

Les tensions en Chambre ont été exacerbées par une hausse importante des interventions partisanes, particulièrement de la part des conservateurs, qui multiplient les slogans mensongers sur la taxe carbone, l’associant à tous les maux des Québécoises et Québécois, alors qu’elle ne s’applique pas au Québec.

« Le Bloc Québécois continue de travailler pour le bien commun et obtient des résultats. Qu’il s’agisse de la hausse des pensions de vieillesse à partir de 65 ans avec notre projet de loi qui a passé l’épreuve de la 2e lecture en Chambre ou encore de l’immigration en faisant reconnaître qu’elle doit être faite en fonction de la capacité d’accueil du Québec pour que les gens qui arrivent ici voient leur intégration réussie, nous agissons de manière responsable! », conclut le député.

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Thierry Vadnais-Lapierre, Adjoint parlementaire

Le Bloc portera les revendications des producteurs agricoles à Ottawa.

Québec, le 7 décembre 2023 – Aux côtés des productrices et producteurs agricoles du Québec lors du 99e Congrès de la Fédération de l’UPA mardi et mercredi, le porte-parole du Bloc Québécois en matière d’Agriculture, d’Agroalimentaire et de Gestion de l’offre, Yves Perron, a bien ressenti le cri du cœur qu’ils ont lancé pour la relève agricole et l’avenir de leurs fermes.

La tempête économique parfaite des taux d’intérêt, de l’endettement des entreprises et de l’augmentation faramineuse du prix des intrants frappe de plein fouet les agriculteurs et tout particulièrement, la relève. Cette dernière est encore plus fragile parce qu’elle dispose de beaucoup moins de liquidités et qu’elle compose avec un taux d’endettement plus élevé. Avec les conditions météorologiques de cette année, des sécheresses aux inondations jusqu’au gel tardif, la situation a empiré au point de mettre en péril la pérennité des exploitations agricoles.

« Lors de la marche des producteurs, les représentants de l’UPA et leurs partenaires du milieu agroalimentaire ont lancé un appel aux différents paliers de gouvernement pour adapter les programmes actuels aux nouvelles réalités du terrain. Le Bloc Québécois proposera au gouvernement fédéral des modifications responsables aux programmes pour permettre, à long terme, une agriculture viable et durable. Dans un contexte de changements climatiques, les programmes d’assurance agricole actuels ne fonctionnent plus. Il faut revoir en profondeur la façon dont on supporte et accompagne les gens qui nous nourrissent », résume Yves Perron.

Le député rappelle également la demande formulée par le Bloc Québécois d’offrir une aide d’urgence pour le secteur horticole cruellement touché : « Lorsque le gouvernement du Québec bouge, le fédéral doit faire sa part. Il doit activer Agri-relance, un programme d’aide des paliers fédéral, provincial ou territorial qui vise à épauler les producteurs dans la reprise de leurs activités en cas de catastrophe. Alors que l’insécurité alimentaire se fait sentir à travers le monde, c’est plus de 1000 producteurs membres de l’organisation qui étaient présents à Québec. Ils veulent que leur voix soit entendue et que cela se concrétise par des actions politiques concrètes », conclut le député Perron.

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Thierry Vadnais-Lapierre, Adjoint parlementaire

Mission diplomatique aux Philippines.

Ottawa, 30 novembre 2023 – Le député de Berthier-Maskinongé revient tout juste d’une mission parlementaire à Manille aux Philippines, au Forum parlementaire Asie-Pacifique(FPAP).

Le FPAP consiste en une réunion des parlementaires de la région de l’Asie-Pacifique, qui adoptent des résolutions et des orientations, en plus de tisser des liens pour favoriser la coopération internationale. À l’heure actuelle, 28 parlements nationaux sont membres et cette année, 19 d’entre eux ont siégé : l’Australie, le Brunei, le Cambodge, le Canada, le Chili, la Chine, l’Indonésie, le Japon, la Corée du Sud, le Laos, la Malaisie, le Mexique, les États fédérés de Micronésie, la Papouasie-Nouvelle-Guinée, le Pérou, les Philippines, la Russie, la Thaïlande et le Vietnam.

Monsieur Yves Perron en compagnie de quelques membres de la délégation du Vietnam

M. Perron y occupait un rôle important, soit celui de membre du comité de rédaction, qui révise et adopte l’ensemble des résolutions des différentes tables de discussion. Il aura rencontré plusieurs diplomates et ambassadeurs au cours de sa semaine.

« J’ai pu développer plusieurs nouvelles relations qui seront des contacts pertinents à long terme. Bien sûr, j’ai aussi saisi plusieurs occasions pour parler du Québec en particulier et de son projet d’indépendance avec plusieurs représentants des différentes délégations »,explique le député

L’année 2023 aura été marquée par l’établissement d’un bureau de commerce dédié à l’Agroalimentaire à Manille aux Philippines. Il s’agit d’un point de base bien positionné dans la région pour faire le pont économique et développer de nouveaux marchés pour les produits agroalimentaires du Québec et du Canada dédiés à l’exportation.

« Il est important de positionner nos entreprises dans ce marché en expansion qui représente une énorme portion du PIB mondial. Nous pourrons par le fait même réduire notre dépendance au marché chinois! », conclut-il

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Thierry Vadnais-Lapierre, Adjoint parlementaire

Ottawa doit répondre à l’appel de Québec.

Ottawa, 23 novembre 2023 – Suite à l’annonce de ce matin du ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation, M. Lamontagne, le porte-parole du Bloc Québécois en matière d’Agriculture et Agroalimentaire, Yves Perron, urge le ministre fédéral Lawrence MacAulay, de déclencher le programme Agri-relance.

« Les excès d’eau et les sécheresses ont durement affecté les producteurs agricoles cet été. La demande du ministre québécois est formelle, son homologue ne peut pas faire la sourde oreille! », explique M. Perron

Le programme Agri-relance est un cadre d’aide des paliers fédéral et provincial ou territorial en cas de catastrophe pour épauler les producteurs dans la reprise de leurs activités. En couvrant une partie des coûts exceptionnels qui sont liés à cette catastrophe, ce programme vient permettre aux agriculteurs de recommencer l’année suivante sur un bon pied.

Mis à part une augmentation du crédit d’impôt pour les projets d’énergie à partir de biomasse, rien n’a été proposé par Ottawa en ce qui a trait à l’agriculture dans son énoncé économique. Il s’agit d’une occasion à saisir pour le gouvernement, qui doit faire sa part sur la question de la sécurité alimentaire.

« Depuis le début de la session parlementaire, je répète qu’il est urgent de donner un solide coup de pouce à nos producteurs de fruits et légumes qui sont extrêmement fragiles. Les récoltes estivales ont été désastreuses, on parle de 60% de pertes dans certains cas. On ne peut pas dire à nos producteurs de mettre 3 ou 4M$ chaque année dans leur champ en semences et autres intrants et les laisser tomber lorsque la météo détruit leur gagne-pain. Ces gens-là sont intelligents, ils vont finir par quitter l’agriculture pour aller ailleurs et ce qui va écoper, c’est notre résilience alimentaire. C’est le bon moment pour faire un bon coup, le ministre MacAulay doit déclencher le programme Agri-relance », conclut Yves Perron.

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Thierry Vadnais-Lapierre, Adjoint parlementaire.

Le député Yves Perron enthousiaste au dépôt d’un projet de loi anti-briseurs de grève.

Louiseville, 11 novembre 2023 – Après le dépôt de 11 projets de loi du Bloc Québécois et 33 ans de lutte acharnée, Yves Perron s’est réjoui et a salué le dépôt d’un projet de loi gouvernemental visant à interdire les travailleurs de remplacement dans le Code canadien du travail, fruit d’un labeur sans relâche du milieu syndical et du Bloc Québécois. Le parti souhaite bonifier le projet de loi en comité et rapidement colmater la brèche, afin que le « non-sens » que constitue le recours aux briseurs de grève puisse à jamais être banni.

« C’était le but du tout premier projet de loi déposé par le Bloc Québécois, en 1990. Il faut dire que Québec avait déjà adopté une loi en ce sens en 1977. Le Canada est littéralement 46 ans en retard pour le droit des travailleurs. Cela reste une belle avancée, mieux vaut tard que jamais! Il faudra maintenant travailler rapidement, pour que le projet de loi soit en vigueur sans plus tarder. Dans sa forme actuelle, il sera mis en application seulement 18 mois après son adoption. On va modifier cela, c’est beaucoup trop long! », a fait valoir le député de Berthier-Maskinongé.

En 33 ans et 11 projets de loi déposés, les libéraux et les conservateurs ont tour à tour bloqué les propositions du Bloc. Dans la présente législature, le Bloc Québécois avait d’ailleurs déposé le projet de loi C-276 en mai 2022.

« Toute une lutte aura été menée par les syndicats et le Bloc Québécois. Le projet de loi va sûrement changer la donne dans le conflit au port de Québec, qui perdure depuis un an et où l’administration a recours à des travailleurs de remplacement, vu que c’est encore permis dans la loi », a souligné le député bloquiste.

« Le recours aux briseurs de grève vient directement affaiblir l’ultime moyen de pression que constitue la grève pour les travailleurs. Sous le code fédéral, les conflits de travail sont en moyenne deux fois plus longs que sous celui du Québec. Quand on fait appel à des travailleurs de remplacement dans cette situation, on ne fait qu’augmenter la tension entre les parties plutôt que susciter le déblocage d’une négociation. Mes collègues vont talonner le gouvernement jusqu’au bout et travailler, en comité, le projet de loi déposé hier afin qu’il devienne rapidement loi », a conclu Yves Perron.

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Thierry Vadnais-Lapierre, Adjoint parlementaire

Yves Perron demande au fédéral de passer à l’action.

Ottawa, 8 novembre 2023 – Le député de Berthier-Maskinongé a exprimé ses vives préoccupations quant à la sévérité de la crise qui ébranle l’écosystème médiatique québécois et canadien. En réponse à cette crise, Yves Perron et le Bloc Québécois réclament que le gouvernement mette sur pied un fonds d’urgence de 50 millions de dollars pour les médias de l’information ainsi que la tenue d’états généraux sur l’avenir des médias.

Concrètement, le Bloc Québécois propose un fonds d’urgence de 50M$, soit l’équivalent sur trois mois de la portion des revenus issus de la mise en place de C-18, estimés à environ 200M$. Cette période de trois mois correspond au début du blocage de Meta des contenus issus des médias québécois et canadiens. « Il faut que le gouvernement fédéral agisse pour que nos médias tiennent le coup. Ils ont besoin de ces ressources », avise le député bloquiste.

« À TVA Trois-Rivières, j’ai eu vent qu’on passe d’une équipe de 15 employés à une équipe de 6, dont 2 caméramans et 4 journalistes. Considérant l’immense territoire que cette équipe réduite doit couvrir, l’information dans notre région va subir un dur coup. Si le gouvernement n’aide pas nos médias, cette première entaille dans l’un des principaux vecteurs de notre démocratie ne sera pas la dernière. Il ne faut pas attendre que tout soit à reconstruire », précise Yves Perron.

« Les géants du web et nos médias se battent à armes inégales. Non seulement C-18 et C-11 doivent être appliquées et les géants numériques doivent faire leur part, mais il faut plus. Le fédéral doit intervenir en versant un montant en attendant que les Meta de ce monde se plient à la loi et qu’ils contribuent à notre monde médiatique et démocratique », conclut-il.

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Thierry Vadnais-Lapierre, Adjoint parlementaire

Un terrifiant travail constructif!

Ottawa, 31 octobre – Le député de Berthier-Maskinongé n’a pas cessé de travailler depuis le début de la rentrée. Plusieurs dossiers l’ont gardé bien occupé, en premier lieu celui du report du remboursement du Compte d’urgence pour les entreprises canadiennes (CUEC). Qu’il s’agisse d’entreprises agricoles, de restauration ou encore de détail, plusieurs devront mettre la clé à la porte si le gouvernement n’agit pas rapidement. Signalant que les PME sont l’essence même des économies locales, le député a demandé à de nombreuses reprises en période de questions davantage de flexibilité pour les entrepreneurs dans le remboursement de leur prêt lié au CUEC, notamment par des assouplissements quant à la date de remboursement ou par la possibilité d’ententes de paiements.

« Jour après jour, semaine après semaine, mes collègues et moi questionnons le gouvernement à ce sujet. Nous ne lâcherons pas le morceau, comme dans le cas d’un programme d’urgence pour nos maraîchers qui ont vu leurs champs inondés cet été », avise le député bloquiste.

Le dossier de l’édition génomique a aussi été assez prenant avec le dossier de la Tiger Team, dévoilé par Radio-Canada. En effet, la proximité entre le gouvernement fédéral et CropLife, a fait sourciller le député. Il avait dénoncé au printemps dernier la décision de l’ex-ministre de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire de ne pas encadrer cette technologie avec un registre gouvernemental obligatoire et de laisser l’industrie s’autogérer.

« Je suis retourné à la charge en demandant au ministre MacAulay un processus de révision de la politique sur l’édition génomique avec un comité réellement indépendant. Il est inconcevable que l’on continue de construire la politique du gouvernement sur cette technologie sur une fondation coulée par des personnes travaillant pour leurs propres intérêts », explique Yves Perron.

Un autre avancement a aussi été réalisé en ce qui a trait aux aînés. Effectivement, le projet de loi bloquiste d’Andréanne Larouche visant à augmenter les pensions de vieillesse à partir de 65 ans a passé le test de la 2e lecture à la Chambre des communes.

« Seuls les Libéraux auront voté contre le projet de loi. Avec l’appui du reste de la Chambre, nous sommes optimistes de voir le projet de loi passer l’épreuve du comité et de la 3e lecture bientôt. Les 2 classes d’aînés seront bientôt chose du passé! », conclut le député.

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Thierry Vadnais-Lapierre, Adjoint parlementaire

L’avenir de l’agriculture au cœur des préoccupations.

Ottawa, le 23 octobre 2023– Organisé par Yves Perron, député de Berthier-Maskinongé et porte-parole du Bloc Québécois en matière d’Agriculture, d’Agroalimentaire et de Gestion de l’offre, le colloque sur l’agriculture, tenu à Saint-Rémi vendredi, a rassemblé plusieurs leaders et participants intéressés par l’avenir de ce secteur-clé de l’économie québécoise. Des enjeux tels que la transformation régionale, la consommation de proximité, l’avenir de la production maraîchère locale et le rôle de l’État dans un contexte de changements climatiques ont notamment été abordés.

CITATION:

« Le secteur agricole et agroalimentaire québécois suscite, avec raison, notre fierté. Les produits issus de nos entreprises agricoles sont réputés pour leur exceptionnelle qualité, laquelle résulte, bien sûr, d’un savoir et d’une expertise qui se transmettent de génération en génération, mais également de l’agilité de nos producteurs et transformateurs qui sont constamment à l’affût des meilleures pratiques et technologies pour maintenir ce niveau d’excellence. Ce secteur fait aujourd’hui face à de nombreux défis et je suis convaincu que nos entrepreneurs sauront les relever avec brio. Et en cela, nous sommes résolument à leurs côtés », a fait savoir le chef du Bloc Québécois, Yves-François Blanchet.

LES PANÉLISTES DU COLLOQUE:

Au colloque, un premier groupe de panélistes a traité des enjeux de la régionalisation de la transformation alimentaire et des circuits courts afin que le fruit du travail de nos producteurs se retrouve dans les assiettes des consommateurs d’ici. Composé de Jean-Sébastien Gascon, coordonnateur du programme Partenaires Bœuf Québec; de Sylvie Cloutier, PDG du Conseil de la transformation alimentaire; de Robert Laplante, DG de l’Institut de recherche en économie contemporaine et d’Indira Moudi, présidente de Viandes Lafrance, le panel a discuté de la production locale de viande et de la consommation à proximité des lieux de transformation, pour réduire le coût environnemental qu’elle représente.

Un second panel a abordé l’avenir de la production maraîchère locale et la révision du rôle de l’État dans un contexte de changements climatiques. Enrichi de l’expérience commune de Catherine Lefebvre, présidente de l’Association des producteurs maraîchers du Québec; de Charles-Félix Ross, DG de la Fédération de l’Union des producteurs agricoles et de Léon Bibeau-Mercier, président de la Coopérative pour l’agriculture de proximité écologique, ce panel a énuméré les pistes pour que les producteurs puissent faire face aux changements climatiques en réévaluant le partage, avec le gouvernement fédéral, des risques que ces dérèglements impliquent.

CITATION:

« Je suis extrêmement satisfait des pistes de solutions qui ont été émises par les panélistes, a fait valoir le député Perron. Non seulement ont-ils saisi l’occasion donnée par le colloque pour dresser un portrait franc de l’agriculture et de l’agroalimentaire, mais ils ont aussi proposé des avenues pour aborder les enjeux actuels et ceux auxquels ils feront face dans l’avenir. Une chose est claire : les entrepreneurs agricoles et agroalimentaires peuvent compter sur les élus du Bloc Québécois pour porter leur voix! », a conclu YvesPerron.

SOURCE:

Thierry Vadnais-Lapierre, Adjoint parlementaire.

CRTC, PROTECTION DES BERGES, AGRICULTURE, GESTION DE L’OFFRE

Ottawa – le 18 septembre 2023 – Au retour du caucus de son parti tenu en Estrie la semaine dernière. Le député de Berthier-Maskinongé est de retour au parlement fédéral. Il adhère pleinement aux priorités globales fixées par le Bloc Québécois : la réussite d’une immigration qui soit responsable et qui respecte la capacité d’accueil du Québec; le coût de la vie, en particulier pour les aînés; de même que le réchauffement climatique et l’accélération de la transition écologique.

Au niveau des dossiers qui touchent plus directement la circonscription, le député espère de nouveaux appels d’offres du CRTC plus adaptés à la réalité du milieu depuis qu’il a colligé les informations sur les différents trous cellulaires de la circonscription et qu’il les a transmis aux responsables de l’organisation.

Aussi, en ce qui concerne le dossier de l’érosion des berges, le comité Protection des Berges du Saint-Laurent Lanaudière/Mauricie est plus actif que jamais et plusieurs municipalités vont réaliser la cartographie des impacts du phénomène au cours des dernières années afin d’étoffer le dossier davantage. Lors des deux dernières semaines, Yves Perron s’est rendu avec son collègue Xavier Barsalou-Duval, porte-parole en matière de Transports et avec des membres du dit comité à l’École de Technologie Supérieure (ÉTS), ainsi qu’à l’Institut de Recherche Scientifique de Québec (INRS), afin de rencontrer les meilleurs chercheurs du dossier de l’érosion. Une meilleure compréhension du phénomène et de son évolution sera positive au dossier, d’autant plus que des recommandations claires ont émané du Comité permanent des Transports, dont une qui encourage le rétablissement d’un programme de financement pour l’aménagement des berges : objectif ultime de la démarche.

Au niveau de son dossier de porte-parole en Agriculture, Agroalimentaire et Gestion de l’offre, Yves Perron s’attend à un automne chaud. « L’été a été catastrophique pour le milieu agricole, particulièrement pour le secteur horticole. Nous devons apporter une aide spéciale au secteur et dans un deuxième temps, revoir en profondeur le partage des risques entre l’État et ses producteurs dans un contexte de changements climatiques. C’est une question qu’il nous faudra mettre de l’avant et le gouvernement devra agir. Pour le moment, il n’y a pas de son, pas d’image de la part du fédéral et ce n’est pas acceptable », précise Yves Perron. Le député compte d’ailleurs mettre le sujet à l’ordre du jour du Comité permanent de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire.

M. Perron rappelle aussi qu’il a, avec ses collègues Luc Thériault et Simon-Pierre Savard Tremblay, réussi l’exploit de faire adopter un projet de loi pour protéger le système de gestion de l’offre par une forte majorité de votes à la Chambre des communes le 21 juin dernier. Mais la tâche n’est pas terminée : « Le projet de loi est maintenant devant le Sénat et plusieurs sénateurs ont exprimé de grandes réticences dans les journaux du Canada anglais durant l’été. Nous devons rencontrer ces gens-là et leur expliquer l’importance de cette loi et la nécessité de reconnaitre le vote massif des élus de la Chambre. On ne peut pas s’arrêter là et nous espérons que cette loi sera effective en 2024, » explique Yves Perron.

Les défis ne manquent donc pas pour la rentrée du député qui se dit très heureux de son été sur le terrain : « Chaque jour, je suis reconnaissant du privilège qui m’est donné de pouvoir représenter les gens de Berthier-Maskinongé et les intérêts du Québec. J’ai beaucoup apprécié les diverses rencontres effectuées pendant la saison estivale et j’invite les citoyennes et citoyens qui ont des préoccupations à venir nous voir. On est là pour vous! », conclut-il.

SOURCE:

Thierry Vadnais-Lapierre, Adjoint parlementaire.

Nouveaux Horizons pour les aînés

Louiseville, 7 août 2023 – Le député de Berthier-Maskinongé, Yves Perron, rappelle aux organismes, groupes d’aînés et municipalités que le Programme Nouveaux Horizons pour les aînés est lancé depuis le 1er août dernier. Ce programme, pouvant subventionner des projets communautaires à une hauteur maximum de 25 000$, est ouvert jusqu’au 14 septembre prochain à 15 heures. « Il est important de déposer les projets le plus tôt possible et de ne pas attendre, car aucune demande en retard ne sera acceptée. Il y a parfois des délais ou difficultés techniques qui pourraient retarder le traitement et il serait fâcheux de passer à côté d’une opportunité de bonifier les espaces de rassemblement de nos aînés. Nous visons un maximum de gain pour les gens de Berthier-Maskinongé », explique M. Perron.

Le député profite de l’occasion pour rappeler les critères à prioriser pour toute idée qui sera déposée, soit de promouvoir le bénévolat auprès des aînés et des autres générations, faire participer les aînés à la collectivité à titre de mentors auprès d’autres personnes, accroître la sensibilisation aux mauvais traitements envers les aînés, y compris à l’exploitation financière, appuyer la participation sociale et l’inclusion des aînés et fournir une aide à l’immobilisation pour des projets ou des programmes communautaires nouveaux ou existants destinés aux aînés. « Plus votre projet cochera ces cases, plus il aura de chances d’être financé! Bien que les organisations n’ayant pas reçus de financement dans les années antérieures soient généralement favorisées, je vous encourage à remplir le formulaire et à continuer d’être dynamiques et inventifs, vous pourriez tout de même voir votre projet sélectionné! Ce programme permet d’améliorer les conditions de vie des aînés et il faut saisir toutes le occasions », conclut le député de Berthier-Maskinongé.

Source :

Thierry Vadnais-Lapierre, adjoint parlementaire