Plus de 300 personnes réunies pour l’occasion!

Yamachiche, le 10 février 2025 – Ce dimanche, la salle du Cabaret Lac St-Pierre était comble pour l’investiture de Yves Perron qui se présente pour un nouveau mandat dans la circonscription de Berthier-Maskinongé. Membres du Bloc Québécois, sympathisants et députés bloquistes de régions avoisinantes étaient présents au rendez-vous, qui a rassemblé plus de 300 personnes.

L’investiture a été une excellente occasion pour démontrer l’appui marqué pour le député sortant et aussi pour donner le ton à la campagne électorale à venir. Le chef du Bloc Québécois, M. Yves-François Blanchet, était d’ailleurs sur place pour faire une allocution en soutien à M. Perron, récemment nommé whip de la formation bloquiste et pour commenter l’actualité politique, marquée par les discussions sur les tarifs du président des États-Unis:

« Le Québec de 2025, confronté à un partenaire commercial devenu menaçant, a besoin de confiance. Nos adversaires vont en profiter pour menacer l’agriculture, l’environnement, le français ou la laïcité. Les Québécois devront avoir confiance en eux-mêmes, mais confiance aussi en ceux qui les représentent. La confiance, c’est toute l’histoire de ma relation avec Yves Perron », a expliqué le chef du Bloc Québécois.

Le député de Nicolet-Sorel-Bécancour, M. Louis Plamondon, et le député de Joliette, Gabriel Ste-Marie, ont aussi témoigné de l’excellent travail parlementaire et local de M. Perron. Le doyen de la Chambre des communes avait de très bons mots pour son collègue:

« Yves accomplit un travail remarquable. Il a réussi à rassembler tout le monde agricole et tous les partis politiques sur la colline parlementaire pour pousser le projet de loi sur la gestion de l’offre. Je me souviens de l’air ébahi d’un journaliste anglophone qui était présent ce jour-là. Ça voulait tout dire! », a résumé M. Plamondon.

« Mon député préféré et moi avons commencé notre implication en politique il y a plusieurs années. Yves, c’est un militant engagé, il s’investit à fond et il le fait avec cœur. Il s’impliquait partout dans sa carrière de prof, il n’avait pas de vie et c’est avec cette même passion qu’il fait pareil aujourd’hui! », a blagué M. Ste-Marie.

M. Perron était très touché par la foule monstre qui s’est présentée pour son investiture:

« La salle était tellement pleine que certains sont restés debout pour assister à l’événement! C’est une bouffée d’amour que j’ai reçu de la part des citoyens de ma circonscription, de maires et de mairesses, des militants, de mes collègues et de mon chef. Je suis vraiment touché qu’autant de gens se soient déplacés pour l’occasion. Cette reconnaissance m’a donné une bonne dose de carburant pour la campagne électorale qui s’en vient! »

Source :

Sophy Forget Bélec, Coordonnatrice à l’organisation, Bloc Québécois

En Bloc malgré le chaos parlementaire!

Louiseville, 18 décembre 2024 – Le député de Berthier-Maskinongé, Yves Perron est fier du travail accompli cette session-ci, qu’il s’agisse de celui sur son dossier de porte-parole que celui de sa formation politique en général. Alors que le gouvernement de Libéraux s’effondre par gros morceaux, le dernier étant la démission de la ministre des Finances, le Bloc Québécois est demeuré l’adulte dans la pièce.

« C’est incroyable de voir qu’à travers toutes les formations politiques siégeant à la Chambre des communes, la seule ayant été constante, rigoureuse et mature est celle formée par des indépendantistes. Nous sommes les seuls dans ce Parlement à ne pas vouloir gouverner le Canada et pourtant, les autres formations politiques nous ont démontré dans le chaos actuel qu’elles n’avaient pas les aptitudes pour le faire. Et maintenant, pour en rajouter sur la session peu reluisante du gouvernement, le départ de Chrystia Freeland s’ajoute à celui de huit autres ministres et à la mutinerie de dizaines de députés libéraux. Justin Trudeau a perdu le contrôle de son équipe ministérielle et n’a plus la légitimité pour gouverner sans que la population lui confie un nouveau mandat. Il doit déclencher des élections », explique M. Perron.

« Grâce à nous, les intérêts du Québec ont été mis de l’avant toute la session automnale. On a défendu avec conviction nos aînés, on a demandé des comptes pour une immigration responsable et réussie pour assurer la dignité des gens qui reviennent faire leur vie ici, on a rassemblé près de 250 entrepreneurs agricoles sous gestion de l’offre sur la Colline. Sérieusement, ce qu’on a accompli est impressionnant! Quand on y pense, les seuls projets de loi qui auront retenu l’attention à Ottawa et dans les médias cette session-ci sont ceux du Bloc Québécois. Pour tout cela, je suis fier du travail accompli », affirme Yves Perron.

L’avancée du projet de loi C-282 est cependant toujours ralentie par plusieurs sénateurs, et ce, en date de mardi. Alors que les sénateurs Harder et Boehm avaient promis de ne pas faire d’obstruction, certains de leurs collègues, tous groupes de sénateurs confondus, on reprit le flambeau pour s’assurer de tuer le projet de loi. En dansant avec diverses tactiques de procédure et en négociant de façon malhonnête, ils auront réussi à repousser la tenue du vote après les Fêtes.

« C’est vraiment frustrant comme situation, parce que le Sénat n’a pas d’échéancier ou de règles strictes pour encadrer ses travaux, contrairement à la Chambre des communes. Cela permet à des gens qui s’opposent aux divers projets de loi des élus de gagner du temps pour les faire mourir au feuilleton, sans porter l’odieux de s’opposer à la volonté des députés qui représentent la population. Il y a quelque chose de profondément antidémocratique dans la façon de faire de cette institution. Ces sénatrices et sénateurs manquent gravement de respect à ceux qui se lèvent tôt le matin, du lundi au dimanche, pour nourrir notre population. C’est à leur système qui permet à tout le monde d’avoir un prix juste et équitable que des personnes non élues s’attaquent. Il faudra définitivement faire monter la pression », conclut le porte-parole en matière d’agriculture, d’agroalimentaire et de gestion de l’offre.

Source :

Thierry Vadnais-Lapierre, Adjoint parlementaire.

5 ans au service de Berthier-Maskinongé.

Ottawa, mardi 22 octobre 2024 – Après déjà 5 ans à servir les gens de Berthier-Maskinongé, le député Yves Perron souhaite remercier les citoyens, de la circonscription, pour leur confiance.

« Cinq ans, ça passe vite! À chacune des journées de ces cinq ans, j’ai tenté de demeurer conscient du privilège qui m’est offert de pouvoir représenter nos gens au gouvernement. Il y a cinq ans, je me suis engagé à être à la hauteur de la confiance accordée et je garde ça en tête à chaque moment. », résume Yves Perron.

Au cours de ces années, plusieurs dossiers sur lesquels le député s’est engagé ont avancé. C’est notamment le cas de l’érosion des berges où une belle cohésion régionale a été créée pour faire bouger le dossier.

« Je suis heureux de voir les citoyens et plusieurs élus municipaux faire preuve d’un leadership impressionnant. Nous venons de faire adopter le rapport du comité permanent des transports qui recommandait de relancer le programme de protection des berges abandonné par le fédéral il y a longtemps. On maintient la pression et on finira par gagner! », explique le député.

L’enjeu de la couverture cellulaire a été aussi travaillé de façon constante. Nous avons sensibilisé les gens du CRTC à notre réalité régionale et nous commençons à voir des résultats. Des chantiers sont en cours et d’autres sont en planification.

« La machine gouvernementale bouge lentement, mais à force de persévérance, on commence à voir du mouvement. La couverture cellulaire sera bientôt améliorée et je salue les efforts de Québec dans ce dossier », développe M. Perron.

Au niveau de l’agriculture et de l’agroalimentaire, beaucoup a aussi été accompli. Le député a réussi à mettre à l’ordre du jour plusieurs études au Parlement pour sensibiliser le gouvernement sur l’enjeu des pollinisateurs ou sur le soutien aux agriculteurs pour l’adaptation aux changements climatiques en plus du projet de loi sur la gestion de l’offre qui est actuellement au Sénat.

Fier du travail accompli, M. Perron ne s’assied pas sur ses lauriers : « Il y a encore beaucoup à faire pour défendre les intérêts des gens de Berthier-Maskinongé. Au-delà de tous les dossiers sur lesquels je suis amené à travailler, je me garde du temps pour rencontrer les gens et participer à une foule d’événements. Parce que pour bien représenter nos gens, il faut bien les connaître! »

Malgré un budget limité, un soutien important est aussi apporté aux organismes du territoire qui comptera bientôt 37 municipalités.

« La distribution des ressources représente un défi, mais nous sommes parvenus à soutenir nos organismes communautaires et nos gens de façon adéquate. Ce sont de petits montants qui font toute la différence dans la plupart des cas », conclut le député de Berthier-Maskinongé

Source :

Thierry Vadnais-Lapierre, Adjoint parlementaire.

Le député Yves Perron dresse le bilan et offre son soutien à la population.

Louiseville, le 21 août 2024 – Après les pluies torrentielles ayant frappé tout le Québec, plusieurs citoyens et entreprises de Berthier-Maskinongé en auront pour longtemps afin de se remettre et le député rappelle à la population que son bureau est à leur service : « Je désire d’abord rappeler aux citoyennes et citoyens de ne pas hésiter à avoir recours aux services de mon bureau. L’épreuve est difficile et nous sommes là pour vous aider. Que ce soit pour l’assurance-emploi si vous vivez une mise à pied temporaire, ou tout autre service, l’équipe est au poste. »

Yves Perron s’est déplacé dans les différentes municipalités et est venu participer aux corvées afin de constater lui-même la situation et apporter son aide. « Des sous-sols, des maisons, des magasins entiers à retaper : j’en ai vu et entendu de toutes les couleurs », explique le député.

Au niveau des infrastructures, les coûts liés aux dégâts s’empilent sur les épaules des municipalités, qui ne peuvent pas tout absorber. Le programme d’urgence du gouvernement québécois leur viendra en aide, mais il y aura tout de même un coût important.

« Le gouvernement fédéral a tellement d’argent dans ses coffres qu’il peut se permettre de s’ingérer dans les compétences des autres paliers. Mais c’est plutôt lorsque des catastrophes comme celle que nous vivons présentement retentissent qu’il faut intervenir en apportant un soutien financier. Le fédéral doit offrir un transfert à Québec pour réduire l’impact des catastrophes sur nos municipalités », résume Yves Perron

Le porte-parole en agriculture, agroalimentaire et gestion de l’offre signale aussi qu’après la saison catastrophique de 2023, les dommages aux champs agricoles sont énormes encore une fois : « Nos producteurs n’ont pas obtenu de soutien du fédéral depuis l’an dernier et se retrouvent avec de nouveaux dommages. L’endettement augmenté à la suite de l’an dernier pourrait compromettre la pérennité de plusieurs d’entre-elles. Il est plus qu’urgent que le fédéral débloque des fonds. »

Au niveau sécurité, un enjeu important a été soulevé par des citoyens et des élus municipaux concernant la répartition des appels au 911. Des appels ayant été transférés hors Québec ont fait en sorte que des citoyens ont dû patienter 25 minutes avant d’obtenir un service dans un français approximatif.

« Quand il est question de sécurité, on ne doit pas badiner. Ces problématiques d’appels au 911 transférés hors Québec quand l’appel est fait sur une ligne IP ne sont pas nouvelles. On mettra la pression pour que cela change. Cela rappelle aussi l’urgence d’offrir une couverture cellulaire adéquate dans tous nos secteurs », répète le député de Berthier-Maskinongé.

Les imprévisibilités météorologiques seront de plus en plus fréquentes avec l’intensification des changements climatiques. Les gouvernements doivent être proactifs et améliorer les infrastructures.

« Nos élus municipaux sont quotidiennement confrontés à la nécessité d’augmenter la capacité de nos infrastructures et d’absorber l’intensité de tels événements : ils font un travail extraordinaire. Ils savent quoi faire et où investir. Ils ont la vision et la connaissance du terrain, mais il leur faut les moyens. Il est grandement temps que le fédéral débloque du financement au gouvernement du Québec sans condition. Nos municipalités ont besoin d’oxygène », conclut Yves Perron.

Source :

Thierry Vadnais-Lapierre, Adjoint parlementaire

 

Un retour sur une session bien chargée.

Ottawa, le 20 juin 2024 – Après une session parlementaire bien chargée, le député de Berthier-Maskinongé, Yves Perron, dresse son bilan.

Agriculture et agroalimentaire

Le dossier de porte-parole du député aura été extrêmement prenant avec la fin de l’étude sur la stabilisation des prix à l’épicerie, la progression du projet de loi pour protéger la gestion de l’offre (C-282), la nécessaire révision des programmes d’assurance désuets pour les agriculteurs et le déclenchement d’Agri-relance. Malgré les nombreuses demandes, ce cadre d’urgence n’a toujours pas été mis en branle par Ottawa pour compenser les pertes agricoles de l’année dernière.

« On a travaillé fort et intelligemment sur les prix à l’épicerie et la signature du Code de conduite. Combinés aux pressions du public, les efforts déployés en comité avec une motion pour soutenir la pression des producteurs et des transformateurs ont porté leurs fruits et Loblaws a finalement ratifié le Code. Les yeux sont maintenant rivés sur Walmart. Costco a bien signifié son intention de signer si tous les joueurs consentaient à participer, mais une confirmation officielle est toujours attendue. J’ai aussi multiplié les rencontres avec les sénateurs et sénatrices pour les convaincre d’adopter notre projet de loi visant à protéger la gestion de l’offre, qui en est maintenant à l’étape du comité. Pour ce qui concerne Agri-relance, j’ai invité les représentants des producteurs à rencontrer le ministre de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire, M. MacAulay, afin qu’ils puissent lui expliquer la nécessité de déclencher le programme d’urgence le plus tôt possible. Il est incompréhensible de voir que le gouvernement fédéral ne s’est toujours pas engagé à compenser les pertes de l’an dernier alors que la saison estivale est déjà commencée. Le Canada parle de nourrir le monde, mais laisse les producteurs du Québec sur leur faim. J’espère que la rencontre et la conférence de presse qui a suivi en ont réveillé quelques-uns. », résume M. Perron.

Dossiers nationaux

Plusieurs sujets majeurs ont été abordés à la Chambre des communes. Il a notamment été question de la politique d’immigration du gouvernement fédéral, de l’intrusion de ce dernier dans les champs de compétences exclusifs du Québec, et de l’ingérence étrangère.

« L’immigration est un enjeu majeur dont il faut parler de manière posée et raisonnable. Le Bloc Québécois s’est prononcé à de nombreuses reprises sur la capacité d’accueil du Québec et sur la façon déplorable dont se déroule l’arrivée des demandeurs d’asile. Le gouvernement fédéral présente le pays comme une terre accueillante, mais est incapable de délivrer des permis de travail aux nouveaux arrivants, les laissant dans la précarité. Il assume mal ses responsabilités. Nous avons heureusement réussi à obtenir un versement important du fédéral en faveur du Québec afin de compenser les dépenses encourues par le gouvernement québécois pour l’accueil des réfugiés. Pour ce qui est des intrusions fédérales dans les champs de compétence du Québec, elles se sont multipliées. Plutôt que de gérer ce qui ne fonctionne pas dans ses propres juridictions comme la protection des berges du Saint-Laurent, la gestion des permis de travail des immigrants ou l’émission des passeports, le fédéral empiète sur les compétences du Québec et dédouble les structures administratives. Nous avons présenté une motion demandant le droit de retrait de ces intrusions avec pleine compensation, car l’argent des Québécois doit être utilisé judicieusement. Les partis fédéraux ont malheureusement voté contre, préférant justifier l’incompétence fédérale. Pour ce qui est de l’ingérence étrangère dans notre processus électoral, nous avons réussi à faire adopter une motion demandant l’élargissement de l’enquête en cours qui permettra de couvrir les parlementaires du Sénat et de la Chambre des communes », explique le député de Berthier-Maskinongé.

Relations internationales

Le député de Berthier-Maskinongé a eu l’occasion de tisser des liens privilégiés avec des représentants de pays étrangers. Il est nouvellement membre du groupe d’amitié avec le Népal et a développé une relation de confiance avec l’ambassadrice de Mongolie, lui ayant même fait un résumé de notre histoire, pour qu’elle puisse bien cerner les particularités nationales québécoises.

« C’est important d’expliquer notre spécificité aux pays étrangers. Nous sommes généralement mal représentés à l’international par le Canada, qui fait tout en anglais, mais qui se présente comme un pays bilingue. Les diplomates sont heureux d’en apprendre davantage sur notre histoire, et il est important de les sensibiliser à la réalité québécoise. La quête de notre indépendance nationale se construit au quotidien et nous nous devons de construire dès maintenant des liens significatifs à l’international », exprime le député.

Circonscription

Depuis janvier, 292 dossiers citoyens ont été traités par l’équipe de Berthier-Maskinongé. Les cas en lien avec l’immigration sont toujours en tête de liste, suivis par ceux de l’assurance-emploi, de l’Agence du revenu du Canada et de ceux en lien avec les programmes gouvernementaux.

« Notre tâche première sera toujours de servir la population de Berthier-Maskinongé. Notre bureau, avec son équipe stable et dynamique, a atteint un niveau d’efficacité impressionnant et les commentaires positifs sont nombreux. Il est primordial que nos gens soient bien servis, » conclut Yves Perron.

Source :

Thierry Vadnais-Lapierre, Adjoint parlementaire

Retour de Yves Perron à la Chambre des communes.

Louiseville, le 18 janvier 2023 – Frais et dispos à la suite de la période des Fêtes, Yves Perron s’apprête à se rendre à Saguenay pour assister au caucus des députés du Bloc Québécois. La nouvelle année s’annonce bien chargée sur plusieurs dossiers, en particulier celui du soutien à nos petites et moyennes entreprises suite au refus de Justin Trudeau de reporter le remboursement du Compte d’urgence pour les entreprises, celui de l’aide au secteur agricole qui a subi une saison estivale désastreuse et finalement celui de la progression du projet de loi pour défendre la gestion de l’offre au Sénat, suite à l’appui massif des députés élus de la Chambre des communes.

Effectivement, le refus du report du CUEC fera mal à nos PMEs qui continueront de s’endetter avec des accords de remboursement avec intérêts, en plus de voir la partie subvention du prêt s’évaporer. « Il faut absolument que le gouvernement libéral entende raison et accepte l’ultime proposition du Bloc Québécois en permettant aux entreprises de convenir de modalités de paiement de gré à gré avec leurs banques, tout en maintenant par le gouvernement fédéral la garantie sur le prêt, les intérêts et la part de 20 000$ d’abord accordée en subvention. C’est une alternative valable à la proposition du gouvernement de rembourser 60 000$ en 3 ans à 5% qui revient à dire aux entreprises : vu que vous avez de la difficulté à remettre 40 000$, on va vous en demander 60 000$. C’est complètement ridicule! Nous devons soutenir nos petites entreprises, surtout les restaurants, qui ont dû s’adapter aux vagues amenant des ouvertures et des fermetures peu prévisibles et restreignant la capacité d’accueil », explique le député de Berthier-Maskinongé.

L’appel à l’aide d’urgence au secteur agricole devra lui aussi être relancé au Parlement, puisque qu’aucune somme n’a été allouée encore aux producteurs ayant subi les pluies torrentielles d’un côté du Québec et les sécheresses de l’autre. « Le ministre de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire doit saisir la balle au bond. Il est lui-même agriculteur, il faut qu’il comprenne que si nos producteurs ne se sentent plus soutenus, ils quitteront leur profession pour aller ailleurs où ils pourront vivre de leur travail, sans avoir à occuper un poste à temps partiel pour arrondir les fins de mois. Il n’y a pas de nourriture sans agriculture. On parle d’une situation qui pourrait mettre en péril, à long terme, la capacité du pays à nourrir son propre monde. Il faut arrêter de penser aux prochaines élections et agir pour les prochaines générations en augmentant de façon notable les budgets alloués au monde agricole et agroalimentaire! », déclare M. Perron. Ce dernier salue tout de même l’ajout de 10M$ par le ministre hier à l’enveloppe du Fonds des infrastructures alimentaires locales. « J’ai fait des pressions pour voir ces budgets rehaussés à la suite du refus de plusieurs projets québécois sans que leur demande ne soit même étudiée, les fonctionnaires expliquant aux gens qu’ils avaient dû réduire le plafond de financement faute de fonds. Cette somme d’argent est considérable à première vue, mais quand on comprend qu’elle ne pourra contribuer qu’à 192 projets à travers tout le Canada, on réalise que c’est bien peu pour renforcer notre sécurité alimentaire. »

Le projet de loi C-282 visant à empêcher de céder de nouvelles parts de marché dans la gestion de l’offre, la plus grande bataille du député, doit aussi obtenir l’aval du Sénat pour avoir force de loi. Le porte-parole bloquiste en matière d’Agriculture, d’Agroalimentaire et de Gestion de l’offre, reste optimiste quant à son avancée. « Je multiplie les rencontres avec les Sénateurs pour les convaincre du bien-fondé du projet de loi. Les procédures sénatoriales peuvent être lentes et je ne tiens rien pour acquis. En parlant franchement et de bonne foi à l’ensemble des sénateurs, incluant les potentiels opposants, je suis convaincu qu’on peut les influencer et leur faire voir l’importance du projet de loi. L’important, c’est d’établir le contact et de pouvoir répondre aux interrogations pour maximiser les appuis, c’est l’essence de ma démarche! », conclut-il

Source :

Thierry Vadnais-Lapierre, Adjoint parlementaire.

Yves Perron dresse le bilan.

Pointe-du-Lac, le 15 décembre 2023 – Malgré que la dernière session ait été assez houleuse, Yves Perron dresse un bilan positif de la dernière session qui vient de se terminer à Ottawa. Fidèle à son habitude de réaliser un travail de fond basé sur le contenu, le député aura planché sur de nombreux dossiers, dont celui de la stabilisation des prix à l’épicerie. Après avoir réalisé une étude exhaustive en comité au printemps dernier sur ce sujet, le député et ses collègues reçoivent de nouveau les PDG des chaînes du secteur de l’alimentation.

Cette situation fait suite à la convocation de ces chefs d’entreprise par le ministre Champagne à une réunion pour trouver une solution à la hausse des prix en épicerie. Cette opération de communication, visant à améliorer l’image du gouvernement, a ramené le comité sur les mêmes conclusions qu’au printemps dernier, sans obtenir de nouvelles informations, ni résultat. Cette manœuvre du ministre n’a aucunement bonifié le travail que le comité permanent de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire a effectué, en parallèle du Bureau de la concurrence qui a réalisé une étude semblable. Les faits sont clairs : il faut imposer plus de transparence dans ce secteur et y augmenter la concurrence réelle.

« Plutôt que de convoquer les PDG comme figurants dans une pièce de théâtre, le ministre doit travailler à mettre en place les recommandations du comité visant à forcer les entreprises à fournir leurs états financiers ventilés pour que le Bureau de la concurrence puisse déterminer si les hausses de profit viennent bien du département de la pharmacie. De plus, il faut cesser de tolérer une trop grande concentration dans des secteurs clés et favoriser l’entrée de nouveaux joueurs dans le secteur de l’épicerie. Soutenir adéquatement ceux qui produisent la nourriture, nos producteurs agricoles et notre industrie agroalimentaire pourrait également aider grandement à maintenir notre alimentation sécuritaire et abordable. », explique le député.

À cet effet, l’agriculture et l’agroalimentaire étant au cœur de ses préoccupations, Yves Perron a pris le pouls des entrepreneurs des deux secteurs à de nombreuses reprises. Le signal d’alarme est le même partout : les liquidités manquent et le taux d’endettement est troublant.

« On s’est battus sans relâche pour obtenir le report du Compte d’urgence pour les entreprises. La voie que le gouvernement veut emprunter va étouffer nos entreprises, autant dans la restauration et dans la transformation que sur nos fermes. L’endettement des agriculteurs a augmenté en flèche, ça n’a pas de bon sens de voir le fédéral continuer à empiler un tel poids sur le dos de ceux qui, entre autres, ont subi jusqu’à 60% de pertes cet été! », s’indigne le porte-parole en agriculture et agroalimentaire.

« Il faut de toute urgence apporter une aide aux producteurs en difficulté suite aux conditions météo imprévisibles, que ce soit les pluies au sud ou la sécheresse au nord. Puis, dans le contexte des changements climatiques, nous devons revoir la façon dont nous assurons les risques lors de la production afin de ne pas faire porter l’ensemble du poids sur les producteurs agricoles. Il faut revoir les programmes et sortir de la boîte », précise Yves Perron.

Le député aura aussi mené une bataille concernant la révision par un comité indépendant de la politique gouvernementale sur l’édition génomique, qui, selon des documents révélés par Radio-Canada, aurait été ficelée par l’industrie, selon ses intérêts. Le Fonds d’infrastructures alimentaires locales (FIAL) aura aussi été dans sa ligne de mire, ayant subi des changements de critères au milieu de la période d’appels de projets. Ces changements auront entraîné le refus arbitraire sans étude de plusieurs projets au Québec, qui auraient pu contribuer à assurer une meilleure résilience alimentaire.

Les tensions en Chambre ont été exacerbées par une hausse importante des interventions partisanes, particulièrement de la part des conservateurs, qui multiplient les slogans mensongers sur la taxe carbone, l’associant à tous les maux des Québécoises et Québécois, alors qu’elle ne s’applique pas au Québec.

« Le Bloc Québécois continue de travailler pour le bien commun et obtient des résultats. Qu’il s’agisse de la hausse des pensions de vieillesse à partir de 65 ans avec notre projet de loi qui a passé l’épreuve de la 2e lecture en Chambre ou encore de l’immigration en faisant reconnaître qu’elle doit être faite en fonction de la capacité d’accueil du Québec pour que les gens qui arrivent ici voient leur intégration réussie, nous agissons de manière responsable! », conclut le député.

Source :

Thierry Vadnais-Lapierre, Adjoint parlementaire

CRTC, PROTECTION DES BERGES, AGRICULTURE, GESTION DE L’OFFRE

Ottawa – le 18 septembre 2023 – Au retour du caucus de son parti tenu en Estrie la semaine dernière. Le député de Berthier-Maskinongé est de retour au parlement fédéral. Il adhère pleinement aux priorités globales fixées par le Bloc Québécois : la réussite d’une immigration qui soit responsable et qui respecte la capacité d’accueil du Québec; le coût de la vie, en particulier pour les aînés; de même que le réchauffement climatique et l’accélération de la transition écologique.

Au niveau des dossiers qui touchent plus directement la circonscription, le député espère de nouveaux appels d’offres du CRTC plus adaptés à la réalité du milieu depuis qu’il a colligé les informations sur les différents trous cellulaires de la circonscription et qu’il les a transmis aux responsables de l’organisation.

Aussi, en ce qui concerne le dossier de l’érosion des berges, le comité Protection des Berges du Saint-Laurent Lanaudière/Mauricie est plus actif que jamais et plusieurs municipalités vont réaliser la cartographie des impacts du phénomène au cours des dernières années afin d’étoffer le dossier davantage. Lors des deux dernières semaines, Yves Perron s’est rendu avec son collègue Xavier Barsalou-Duval, porte-parole en matière de Transports et avec des membres du dit comité à l’École de Technologie Supérieure (ÉTS), ainsi qu’à l’Institut de Recherche Scientifique de Québec (INRS), afin de rencontrer les meilleurs chercheurs du dossier de l’érosion. Une meilleure compréhension du phénomène et de son évolution sera positive au dossier, d’autant plus que des recommandations claires ont émané du Comité permanent des Transports, dont une qui encourage le rétablissement d’un programme de financement pour l’aménagement des berges : objectif ultime de la démarche.

Au niveau de son dossier de porte-parole en Agriculture, Agroalimentaire et Gestion de l’offre, Yves Perron s’attend à un automne chaud. « L’été a été catastrophique pour le milieu agricole, particulièrement pour le secteur horticole. Nous devons apporter une aide spéciale au secteur et dans un deuxième temps, revoir en profondeur le partage des risques entre l’État et ses producteurs dans un contexte de changements climatiques. C’est une question qu’il nous faudra mettre de l’avant et le gouvernement devra agir. Pour le moment, il n’y a pas de son, pas d’image de la part du fédéral et ce n’est pas acceptable », précise Yves Perron. Le député compte d’ailleurs mettre le sujet à l’ordre du jour du Comité permanent de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire.

M. Perron rappelle aussi qu’il a, avec ses collègues Luc Thériault et Simon-Pierre Savard Tremblay, réussi l’exploit de faire adopter un projet de loi pour protéger le système de gestion de l’offre par une forte majorité de votes à la Chambre des communes le 21 juin dernier. Mais la tâche n’est pas terminée : « Le projet de loi est maintenant devant le Sénat et plusieurs sénateurs ont exprimé de grandes réticences dans les journaux du Canada anglais durant l’été. Nous devons rencontrer ces gens-là et leur expliquer l’importance de cette loi et la nécessité de reconnaitre le vote massif des élus de la Chambre. On ne peut pas s’arrêter là et nous espérons que cette loi sera effective en 2024, » explique Yves Perron.

Les défis ne manquent donc pas pour la rentrée du député qui se dit très heureux de son été sur le terrain : « Chaque jour, je suis reconnaissant du privilège qui m’est donné de pouvoir représenter les gens de Berthier-Maskinongé et les intérêts du Québec. J’ai beaucoup apprécié les diverses rencontres effectuées pendant la saison estivale et j’invite les citoyennes et citoyens qui ont des préoccupations à venir nous voir. On est là pour vous! », conclut-il.

SOURCE:

Thierry Vadnais-Lapierre, Adjoint parlementaire.

Le député de Berthier-Maskinongé lance une consultation.

Louiseville, 17 mai 2023 – Après plusieurs déceptions découlant de différents programmes inadaptés et à plusieurs discussions avec ses homologues du palier municipal et québécois, Yves Perron lance aujourd’hui une initiative pour cibler l’ensemble des trous de couverture cellulaire sur le territoire de Berthier-Maskinongé. Il rappelle l’initiative du gouvernement du Québec d’engager une firme pour répertorier l’ensemble de ces trous à l’échelle nationale à cause de la lenteur du fédéral et l’inexactitude de la cartographie du CRTC. Soucieux de la sécurité des personnes habitant dans ces zones où aucun réseau n’est disponible et d’accélérer le processus, il veut s’assurer de prévenir des événements malheureux qui pourraient se produire :

« Sans couverture cellulaire pour contacter les services d’urgence, de nombreux accidents peuvent tourner au pire. On peut prendre l’exemple des deux noyades en trois ans à Notre-Dame-de-Montauban, en Mauricie. Ce genre de situation est inacceptable : les télécommunications, c’est une prérogative d’Ottawa, il est temps que des sommes soient débloquées pour régler cette problématique d’envergure. Il faut surtout que les programmes lancés s’attaquent de façon pointue aux lacunes du terrain. Une vie, ça n’a pas de prix », explique le député de Berthier-Maskinongé.

Le 23 mars dernier, le CRTC lançait un avis de consultation afin de prévoir le besoin futur de financement en vue d’améliorer les services Internet à large bande et les services sans fil mobiles au Canada. Suite à cette annonce qui peut sembler encourageante, M. Perron a réalisé que, par exemple, le territoire de Saint-Édouard-de-Maskinongé n’était pas visé une fois de plus. Il a alors demandé une réunion avec Ian Baggley, le directeur général de la planification stratégique du Fonds pour large bande et réseaux au CRTC. Pour donner suite aux soucis formulés par le député, le représentant du CRTC a indiqué qu’il serait intéressé à connaître d’avantage la problématique au niveau régional et qu’il pourrait bénéficier de plus d’information pour adapter le prochain appel d’offres. Yves Perron saisit donc cette occasion pour sensibiliser l’équipe du CRTC à la réalité de la circonscription, d’où son appel aux municipalités.

Source :

Thierry Vadnais-Lapierre, Adjoint parlementaire

Bilan de l’automne,

Ottawa, le 15 décembre 2022,- Les libéraux sous haute surveillance. Yves Perron a dressé le bilan de session d’un gouvernement fédéral plus motivé par ses ingérences dans les compétences du Québec et des provinces que par ses propres responsabilités et échecs.

« Le Bloc Québécois devra tenir le gouvernement Trudeau sous haute surveillance cet hiver. Les troupes libérales ne se cachent plus pour affirmer qu’Ottawa est meilleur et doit accaparer les juridictions du Québec et des provinces. On le voit dans leurs tentatives de rompre le consensus sur le financement de la santé en proposant des ententes individuelles, à rabais et assorties de conditions avec quelques provinces. On le voit dans l’annonce de seuils d’immigration irresponsables, sans consultation. On le voit dans la loi sur les langues officielles qui se substitue à la Charte de la langue française et dans la pérennisation du chemin Roxham, un accès inhumain pour des gens vulnérables. La quantité de gens qui arrivent par cette voie illégale va bien au-delà de la capacité du Québec de les franciser et d’en prendre soin », a fait valoir M. Perron.

« D’un autre côté, ce gouvernement usé manque d’intérêt pour sa propre gouvernance, comme en fait foi l’agenda législatif sans vision déposé par les libéraux cet automne. Leur réaction faible et maladroite aux nombreuses ingérences de la Chine dans les affaires intérieures du Canada, ainsi que les échecs dans les deux COP sur les changements climatiques et la protection de la biodiversité le démontre. Que dire de leurs échecs dans les dossiers d’immigration, de la crise des passeports et de la discrimination contre les étudiants africains francophones? Le Bloc Québécois devra contenir la propension de ce gouvernement à toujours vouloir se substituer aux provinces, comme s’il était meilleur, et il devra aussi alimenter le gouvernement en propositions valables parce qu’il est visiblement à court d’idées face aux défis de l’économie, de la liberté d’expression ou de la sécurité dans nos rues », a expliqué le député.

À ses yeux, « ces ingérences, ces échecs, ces faiblesses et la confusion qui règnent à Ottawa sont de nature à alimenter la réflexion des Québécois sur leur avenir au sein de ce pays. »

Au service des Québécoises et Québécois de Berthier-Maskinongé

Yves Perron a vanté quelques hauts faits des troupes bloquistes durant la session automnale. « Nous nous battons pour empêcher le projet de loi C-13 de permettre aux entreprises de compétence fédérale de contourner la Charte de la langue française. Alors que le projet de loi C-21 sur l’interdiction des armes de type assaut est mis en danger par la partisanerie, c’est nous qui avons convoqué des rencontres supplémentaires pour entendre des experts et assurer un juste équilibre entre protection civile et droits des chasseurs. Le Bloc Québécois a, encore une fois, mis les intérêts partisans de côté afin de protéger les caisses de retraite des travailleurs en cas de faillite des entreprises en appuyant, et en faisant passer conjointement avec les autres partis, le projet de loi C-228. C’est également à notre initiative qu’un projet de loi pour empêcher toute nouvelle brèche dans la gestion de l’offre a été déposé. », a fait valoir M. Perron. « J’ai aussi talonné le ministère de l’Agriculture, en particulier sur le dossier de l’édition génomique des semences, sur celui de l’entrée du poulet ukrainien au pays ou encore celui des boues d’épuration municipales toxiques américaines. »

Des partis fédéraux aux antipodes du Québec

Le député de Berthier-Maskinongé a du même souffle déploré une déconnexion entre les partis fédéraux et le Québec. « Alors que Statistique Canada prouve le déclin du français au travail, tous les partis ont battu notre projet de loi C-238 imposant la Charte de la langue française aux entreprises de compétence fédérale. Tous les partis ont voté contre notre projet de loi C-237 limitant le pouvoir fédéral de dépenser, suggérant qu’ils sont d’accord avec Justin Trudeau lorsqu’il lutte pour limiter la hausse des transferts en santé et imposer des conditions au Québec. Tous ont également rejeté notre motion invitant à rompre les liens avec la monarchie britannique, alors que l’Assemblée nationale s’affranchissait du serment à Charles III.  Qu’il s’agisse de compromettre l’avenir du français, de dicter au Québec comment gérer les soins de santé ou de préserver la monarchie, les libéraux ne manquent pas d’appuis à Ottawa », a-t-il déploré.

« L’hiver sera rude, mais les Québécois pourront de nouveau compter sur les 32 députés du Bloc, qui sont tous pour le Québec, tous les jours et sans compromis! », a conclu M. Perron

Mes vœux des Fêtes

Chers ami(e)s,

Je vous souhaite une année 2023 remplie de bonheur et de temps de qualité avec les gens que vous aimez. Puisse cette année nous rapprocher encore un peu de notre projet de pays : une société juste et égalitaire où on prendra soin de tout monde.

Nous réfléchissons à expérimenter un nouveau concept de calendrier pour l’an prochain : les personnalités rayonnantes de Berthier-Maskinongé. Vous pouvez déjà nous envoyer la candidature de personnes que vous croyez dignes de mention yves.perron@parl.gc.ca. Vous pouvez aussi continuer de nous faire parvenir des photos de la circonscription illustrant les différents mois de l’année. On décidera du concept selon votre participation!

Et faites-moi signe si vous appréciez recevoir ce genre de communiqué!

Joyeuses fêtes,

Yves Perron
Député de Berthier-Maskinongé
Porte-parole en matière d’agriculture, d’agroalimentaire et  de gestion de l’offre
Notre adresse est :
Yves Perron Député 343, avenue Saint-Laurent Louiseville, QC J5V 1KV Canada

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