Gabriel Ste-Marie et Yves Perron dénoncent la situation dans la région

Saint-Félix-de-Valois, 20 janvier 2022 – Les députés fédéraux de Joliette et de Berthier-Maskinongé, Gabriel Ste-Marie et Yves Perron, à l’instar de la porte-parole du Bloc Québécois en matière de Travail, Emploi, Développement de la main-d’œuvre et Inclusion des personnes en situation de handicap, Louise Chabot, s’inquiètent des délais affectant les prestations d’assurance-emploi pour les citoyens visés par une alerte de fraude et exigent de revoir ce processus de vérification.

« Nous avons pris connaissance de nombreux cas où, à cause des délais de vérification, les gens sont forcés d’attendre plusieurs mois leurs prestations. Emploi Canada doit cesser de prendre en otage la santé financière de nos travailleurs, notamment ceux de l’industrie saisonnière, qui doivent pouvoir accéder rapidement aux prestations en hiver. Le trou noir de l’assurance-emploi est déjà assez stressant comme ça », a déclaré Louise Chabot.

« Nous demandons qu’Emploi Canada procède à ces vérifications simultanément à l’octroi des prestations d’assurance-emploi. Ainsi, la grande majorité des citoyens irréprochables ne seront pas pénalisés inutilement. Une fois la vérification terminée, Emploi Canada pourra exiger aux prestataires fautifs de rendre des comptes. En attendant que le gouvernement procède à la nécessaire réforme globale de l’assurance-emploi que nous demandons depuis longtemps, c’est la chose à faire », a précisé Gabriel Ste-Marie

« Il est inconcevable que nos gens doivent patienter plusieurs semaines avant de recevoir leurs prestations parce qu’ils sont injustement présumés fraudeurs. Emploi Canada doit faire preuve de compréhension et effectuer les changements nécessaires afin d’éliminer ces situations anxiogènes, quitte à engager davantage de ressources », a fait valoir Yves Perron.

Les députés de Joliette et de Berthier-Maskinongé confirment que les demandes d’aide ont explosé dans leur bureau de circonscription. Ils déplorent que les citoyens ne sachent plus vers qui se tourner après avoir attendu des heures au téléphone pour finalement se faire dire que quelqu’un les rappellerait plus tard.

Au bureau de circonscription de Gabriel Ste-Marie à Joliette, près d’un cas sur deux est présentement de la fraude. Plusieurs citoyens attendent leurs prestations d’assurance-emploi et n’ont pas de suivi de leurs dossiers. C’est pourquoi ils décident de se tourner vers le bureau de leur député afin de mieux comprendre la situation. Ceux-ci ont une double crainte, puisqu’ils ne savent pas ce qui se passe avec leurs dossiers et n’ont pas accès à leurs prestations. « Si vous vivez une telle situation en déposant une demande et que les délais sont anormaux, je vous invite à communiquer avec mon bureau pour connaître le développement de votre dossier. Il peut y avoir une possibilité de fraude. Nous sommes présents pour accompagner les citoyens et trouver réponse à leurs questions, puis interpeller Emploi Canada sur le traitement des dossiers. », indique le député fédéral de Joliette.

Dans Berthier-Maskinongé, le constat de lenteur dans le traitement des demandes par Emploi Canada est généralisé. Dans les cas rapportés par le bureau du député Yves Perron, on estime à un sur trois ceux concernés par de la fraude. Le député invite les citoyens de sa circonscription à la vigilance : « J’invite les citoyens de Berthier-Maskinongé à contacter notre bureau s’ils constatent des délais inhabituels. En plus de prendre en otage les prestataires honnêtes, Emploi Canada leur demande, pour prioriser leur dossier, de prouver qu’ils ne sont plus en mesure de payer leurs factures. C’est tout simplement inacceptable et insensible. La solution que nous proposons pourrait éviter bien des maux de tête et nous veillerons à ce que le gouvernement l’applique rapidement », a conclu Yves Perron.

Sources :
Bureau de Gabriel Ste-Marie :
Sarah Elisabeth Aubry, responsable des communications.

Bureau de Yves Perron :

Yves Perron parraine la nouvelle pétition e-3748 pour la protection des berges du fleuve Saint-Laurent

Ottawa, 14 décembre 2021 – Le député de Berthier-Maskinongé annonce la mise en ligne d’une nouvelle pétition pour la protection des berges du fleuve Saint-Laurent, après l’arrêt de la pétition e-3360, qui avait dû prendre fin suite au déclenchement des élections fédérales. Le député souhaite ainsi faire pression auprès du gouvernement pour l’obtention d’un programme de protection des berges, programme auquel ce dernier a mis fin il y a près de 22 ans.

« Nos citoyens riverains sont aux prises depuis trop longtemps avec le phénomène d’érosion des berges. Plusieurs résidents de municipalités de Berthier-Maskinongé sont concernés, pensons entre autres à celles de Lanoraie, de Saint-Ignace-de-Loyola et même au secteur de Pointe-du-Lac à Trois-Rivières », affirme Yves Perron.

Plusieurs citoyens ont été rencontrés par le député l’été dernier et ont de nouveau dénoncé l’inaction du gouvernement dans ce dossier. « Depuis 1997, les rives se dégradent sous l’effet de l’érosion et des infrastructures inadéquates, et elles se détériorent avec le temps et par le manque d’entretien du gouvernement. Ce sont des berges que le gouvernement a lui-même érigées, il doit prendre ses responsabilités et apporter des mesures adéquates pour contrer l’érosion et assurer un environnement sécuritaire à tous », déclare le député de Berthier-Maskinongé. Ancien conseiller municipal de son village, M. Roy Grégoire, résidant à Saint-Ignace-de-Loyola, est le citoyen qui a lancé la présente pétition e-3748. Il somme le gouvernement d’agir afin de sécuriser sa propriété et celles de ses voisins : « Avec l’augmentation du tonnage des bateaux et le manque d’entretien, on voit que le phénomène prend des proportions de plus en plus inquiétantes pour notre sécurité, pour nos propriétés et nos infrastructures municipales. Il y a longtemps qu’on fait des pressions et on n’était pas entendu. Je souhaite que ma pétition puisse faire avancer enfin les choses. »

Par ailleurs, le député Perron souhaite la création d’une mobilisation citoyenne en collaboration avec les municipalités. Il rappelle que le nombre de signataires est important afin de faire pression sur le gouvernement : « la pétition est ouverte à tous, citoyens de la circonscription ou non. Pour la sécurité de notre environnement et des résidents riverains de tout le Québec, signez cette pétition. Parlez-en durant les fêtes, partagez-là sur vos réseaux. Les choses doivent bouger et il est primordial que les gens ayant signé la précédente pétition le fassent de nouveau. On ne se laissera pas arrêter par une élection inutile! », conclut Yves Perron.

Le gouvernement fédéral mettait fin au programme de protection des rives en 1997.

La pétition e-3748 sera en ligne jusqu’au 10 mars 2022. Pour la signer, rendez-vous à cette adresse : https://petitions.noscommunes.ca/fr/Petition/Details?Petition=e-3748

 

Source
Julie Boucher, responsable des communications.

Louiseville, le 3 décembre 2021 – Le Bloc Québécois exhorte Ottawa à défendre bec et ongles l’industrie forestière québécoise devant la hausse des droits compensatoires sur le bois d’œuvre et exige qu’Ottawa mette en place des mesures concrètes pour protéger l’industrie forestière contre les tactiques commerciales protectionnistes américaines.

« Il est aberrant qu’une semaine après la rencontre des « trois amigos » réunissant le PM Trudeau, le président Biden et le président Obrador, les États-Unis nous annoncent que les droits compensatoires sur le bois d’œuvre canadien allaient doubler en 2022 », déplore le député de Berthier-Maskinongé, Yves Perron.

« La forêt est un pilier économique de plusieurs régions du Québec, notamment en Mauricie, elle représente des milliers d’emplois et une large part de nos exportations. Tandis qu’Ottawa continue de faire pleuvoir des milliards sur le secteur pétrolier et gazier, l’industrie forestière ne reçoit qu’une infime part du soutien financier du fédéral », rappelle Yves Perron.

« En 2020, l’Organisation mondiale du commerce a décrété illégaux les tarifs compensatoires américains, mais comme le procédé plombe la concurrence jusqu’à la prochaine décision de l’OMC, les Américains récidivent. Dans l’intervalle, c’est notre industrie qui se dégrade; les prix du bois vont monter, avec des conséquences graves pour nos entreprises », souligne le député de Joliette, Gabriel Sainte-Marie.

« Les délégués de l’UPA ont adopté une proposition au congrès de cette semaine demandant une exemption des droits compensatoires pour les forêts privées, souligne Yves Perron.

Nous appuyons cette revendication et croyons qu’Ottawa doit demander aux Américains de reculer aussi sur les droits compensatoires pour le bois provenant de la forêt publique. » Le Bloc Québécois propose cinq actions concrètes:
 Que le fédéral aide de façon tangible l’industrie forestière à traverser la crise avec un programme de prêts et de garanties de prêts, à la hauteur des sommes retenues aux États-Unis via les taxes imposées;
 Travailler à amender l’ACEUM afin que le processus de litiges soit mieux encadré et ne laisse plus place aux manœuvres concurrentielles déloyales;
 Demander une exemption de taxes pour les bois issus de la forêt privée, puisque les allégations du lobbying américain ne concernent que la forêt publique;
 Faire reconnaître le régime forestier québécois qui fonctionne sous le modèle des enchères et qui est conforme aux exigences du libre-échange;
 Soutenir le développement d’une chaîne de valeurs pour la 2 e et 3 e transformation et le développement de la filière forestière verte (bioéconomie).

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François Robert, adjoint parlementaire

Sarah Élisabeth Aubry, attachée politique et responsable des communications

Louiseville, 1er décembre 2021 – À quelques semaines de Noël, le chef du Bloc Québécois, Yves-François Blanchet, et le député de Berthier-Maskinongé, Yves Perron, interpellent à nouveau le gouvernement Trudeau afin que les aînés les plus vulnérables ne voient pas leur supplément de revenu garanti amputé parce qu’ils ont bénéficié de la prestation canadienne d’urgence pendant la pandémie. Déjà lourdement affectés par la pandémie qui a fragilisé leurs conditions de vie et accentué leur isolement, les aînés sont aussi les grands oubliés du gouvernement Trudeau, constate Yves-François Blanchet.

« Je suis indigné du mépris démontré par le gouvernement fédéral envers nos aînés. Tandis que l’inflation s’emballe à un rythme inquiétant, le fédéral ne fait rien contre leur appauvrissement et l’étiolement de leurs conditions de vie. C’est une aberration: on est entre le manque de respect et le manque de compétence. Le gouvernement semble ignorer les réalités et la détresse des aînés. Il est en effet absurde que certains prestataires du Supplément de revenu garanti qui ont reçu des montants de PCU en toute légitimité voient leur chèque de SRG amputé de façon injustifiable », s’est indigné le chef du Bloc Québécois.

Depuis 2019, le Bloc Québécois défend sans relâche auprès du gouvernement Trudeau, la nécessité de rehausser de façon significative et pérenne la pension aux aînés pour toutes les personnes de 65 ans et plus. « En réservant la bonification de l’aide fédérale uniquement aux 75 ans et plus, le gouvernement fédéral a créé deux classes d’aînés. C’est inacceptable et d’une grande injustice : tous les aînés qui ont atteint l’âge de la retraite doivent recevoir un traitement égal. Nous continuerons à porter ce dossier pour l’ensemble des aînés de Berthier-Maskinongé », a assuré M. Perron.

Face à l’appauvrissement des aînés, le Bloc Québécois propose une solution simple et équitable: une hausse immédiate de la pension aux aînés de 110$ par mois pour toutes les personnes de 65 ans et plus, ajustée subséquemment au coût de la vie, ainsi que considérer les prestations de la PCU comme un revenu d’emploi afin de régler le problème des coupures du SRG.

« À l’approche du temps des fêtes, j’invite le gouvernement Trudeau à faire preuve de bienveillance et à sécuriser de façon pérenne, l’aide pour tous les aînés de 65 ans et plus. Dans Berthier-Maskinongé, c’est plus de 21 000 personnes qui sont concernées. Nos parents et nos grands- parents ont dressé pour nous de nombreuses tablées; c’est un devoir qui nous incombe maintenant de leur assurer des conditions de vie dignes et équitables », a concluYves Perron.

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Julie Boucher, responsable des communications

Ottawa, 24 novembre 2021 – Le député de Berthier-Maskinongé, Yves Perron, a annoncé que ses collègues du Bloc Québécois et lui-même voteront, mais sans enthousiasme, en faveur du discours du Trône. Il constate toutefois que le parti doit absolument garder le cap et faire ses propres propositions pour le Québec, et assure la poursuite des pressions pour les dossiers chauds de la circonscription.

Yves Perron déplore ainsi un énoncé très court qui ne justifie en rien un déclenchement d’élection « urgent » et la fermeture du Parlement durant cinq mois. Il ajoute que le parti poursuivra dans le même esprit de vigilance et de collaboration : « Nous appuierons à la pièce ce qui est bon pour le Québec. Nous travaillerons à améliorer ce qui peut l’être et nous nous opposerons à ce qui est nuisible pour la nation québécoise. Nous nous battrons pour le financement adéquat des soins de santé, freiner les changements climatiques, la qualité de vie de tous les aînés, la promotion de la langue française, le poids politique du Québec à Ottawa et le contrôle des armes à feu », a déclaré M. Perron.

Par ailleurs, le député assure qu’il continuera de faire des propositions qui sont structurantes pour la circonscription: « les gens de Berthier-Maskinongé peuvent compter sur moi pour porter les dossiers importants, même s’ils ne sont pas cités dans le discours du trône. Ainsi, la couverture des « trous cellulaires », la protection des berges, l’augmentation de la transformation régionale ainsi que les autres dossiers agricoles auront une voix à la Chambre des communes! », a conclu Yves Perron.

 

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Julie Boucher, responsable des communications

Les députés bloquistes de la région annoncent leurs priorités

Trois-Rivières, 17 novembre 2021 – À l’occasion de leur entrée au caucus présessionnel du Bloc Québécois, la semaine dernière, les députés bloquistes de la Maurice et du Centre-du-Québec, René Villemure, député de Trois-Rivières, Yves Perron, député de Berthier-Maskinongé et Louis Plamondon, député de Bécancour-Nicolet-Saurel, ont détaillé les cinq priorités qu’ils mettront de l’avant à l’aile parlementaire du parti pour la région, ainsi que leurs principaux enjeux locaux.

Plus de cinquante jours après l’élection, les députés du Bloc Québécois réitèrent l’urgence de reprendre les travaux dans des dossiers qui ne peuvent être ignorés plus longtemps.

En vue de la reprise fort attendue des travaux, la priorité sera donnée au financement des soins de santé, mais aussi à l’abolition des deux classes d’aînés créées par une hausse unique de la pension de vieillesse. La lutte aux changements climatiques sera également au cœur des enjeux portés par les députés, en plus de l’importance accordée au poids politique du Québec à Ottawa et à la langue française.

Le désinvestissement fédéral en santé a des conséquences directes sur notre personnel et nos soins de santé dans la région, alors que le secteur a été tragiquement exposé à la pandémie. « Il est urgent que le premier ministre convoque un sommet sur le financement des soins de santé », ont insisté les députés. Ainsi, « la réunion d’au minimum tous les premiers ministres, les ministres de la Santé et les chefs des partis d’opposition à Ottawa permettra de régler durablement ces conséquences ». Le Bloc Québécois y défendra la demande unanime du Québec et des provinces d’une hausse sans condition des transferts en santé jusqu’à l’atteinte de 35 % des coûts des soins, ainsi que d’une indexation subséquente de 6 %.

« Nous reviendrons à la charge contre la création de deux classes d’aînés alors qu’Ottawa discrimine les 65 à 74 ans dans l’octroi d’une hausse de la pension de vieillesse que tous les aînés méritent. C’est un combat initié au départ par le Bloc Québécois que nous n’abandonnerons pas », a martelé René Villemure. Lui et ses collègues députés déplorent par ailleurs une injustice concernant le calcul du Supplément de revenu garanti (SRG) et de la Prestation canadienne d’urgence (PCU) : « le nombre d’appels que nous recevons à ce sujet a bondi depuis juillet et il faut corriger cette iniquité vécue par trop d’aînés dans la région. Nous ne lâcherons pas le morceau pour nos aînés », a renchéri Yves Perron.

Pour les députés bloquistes, la lutte aux changements climatiques est une autre priorité que le gouvernement ne pourra pas continuer d’ignorer : « Nous serons déterminés à convaincre le fédéral qu’aucune solution n’est possible sans plafonner puis réduire progressivement la production du pétrole de l’Ouest au Canada », ont-ils affirmé. Le Bloc Québécois, par ailleurs, « défendra sans relâche et sans compromis le poids politique de la nation québécoise au Parlement canadien, où le Québec devra obtenir davantage de sièges plutôt que moins, comme il est actuellement proposé. Ce constat par la Chambre des communes que les Québécois forment une nation exige que ceux-ci soient traités avec les égards qui conviennent à ce statut », a fait valoir Louis Plamondon.

« Sans surprise, nous allons promouvoir, protéger et faire respecter la seule langue officielle et commune de la nation québécoise, le français. Alors que le PDG d’Air Canada a choisi de s’ériger en lourd symbole de l’ampleur du travail à accomplir et de l’urgence d’agir, le Bloc Québécois poursuivra son action pour que notre langue nationale soit incontournable et pérenne partout sur le territoire québécois », a soutenu Yves Perron.

Les principaux enjeux locaux dans la circonscription de Trois-Rivières, M. Villemure et son équipe ont entrepris une série de rencontres avec les élus, les groupes communautaires, les intervenants économiques et les institutions d’enseignement supérieur qui se poursuivront au cours des prochaines semaines. Un comité aviseur en matière d’enjeux économiques a également été mis sur pied afin d’identifier les priorités pour la circonscription. « Je pars pour Ottawa avec la ferme intention de travailler pour les citoyens de Trois-Rivières en gardant le cap sur les engagements pris lors de la campagne électorale : développer le logement social, stimuler l’économie verte et accompagner les citoyens victimes de la pyrrhotite », a déclaré René Villemure.

Du côté de Berthier-Maskinongé, M. Perron continue de maintenir un contact étroit avec les gens de la circonscription et les élus locaux. Il affirme qu’il mènera la bataille pour plusieurs dossiers: « Nous relancerons les pressions afin que le fédéral reprenne ses responsabilités dans le dossier de l’érosion des berges. Dans le dossier des tours cellulaires, nous travaillons en collaboration pour assurer une couverture cellulaire efficace dans toute la circonscription. Des visites ont déjà été effectuées depuis les élections dans des municipalités concernées. Quant à la pénurie de main d’œuvre, nous sommes heureux de la fin de la PCRE, un gain obtenu depuis la campagne électorale. Nous poursuivrons les pressions afin que les gens de 60 ans et plus et désirant rester au travail ne soient pas pénalisés. » Relativement à ses dossiers de porte-parole en agriculture et agroalimentaire, Yves Perron rappelle entre autres la nécessité d’augmenter la capacité de transformation locale, notamment au niveau de l’abattage de proximité : « Des projets pourraient voir le jour dans Berthier-Maskinongé », affirme-t-il.

Le député de Bécancour-Nicolet-Saurel rappelle que son territoire étant composé à près de 85% de domaine agricole, il va de soi que sa priorité sera de moderniser les programmes de soutien aux agriculteurs, dans les différents secteurs de production, ainsi que le soutien aux grands projets industriels prévus dans le Parc industriel de Bécancour.

Les travaux de la Chambre des communes reprendront le 22 novembre prochain.

Source 

Julie Brosseau, attachée politique responsable des communications

Julie Boucher, responsable des communications

François Robert, adjoint parlementaire

Le chef du Bloc Québécois, Yves-François Blanchet, a annoncé publiquement à Louiseville, le 6 octobre 2021 la composition de son cabinet fantôme à l’occasion du caucus des députés élus le 5 octobre dernier à Ottawa. C’est sans surprise qu’il a décidé de reconduire Yves Perron, député réélu pour un second mandat dans Berthier-Maskinongé, à titre de porte-parole en agriculture, agroalimentaire et gestion de l’offre. Yves-François Blanchet a rappelé le travail efficace de son porte-parole dans ce dossier au moment de lui renouveler sa confiance.

Le député de Berthier-Maskinongé s’est dit extrêmement heureux et reconnaissant de pouvoir poursuivre son travail dans ce rôle : « Le monde agricole et agroalimentaire a besoin d’une personne sincère, régulièrement sur le terrain et qui porte sa voix avec force. Je prends ce mandat avec humilité et je m’engage à mettre en relief les besoins de cette filière au parlement. Nous avons beaucoup de travail à faire. »

Rappelons que le travail d’Yves Perron à titre de porte-parole aura entre autres permis de faire adopter la loi sur le transfert des entreprises agricoles à des personnes apparentées sans pénalité fiscale. Il a aussi réussi à faire progresser le projet de loi sur la protection de la gestion de l’offre à la troisième lecture et, n’eut été du déclenchement électoral, cette loi serait probablement présentement sur le point d’obtenir la sanction royale. Il se dit enthousiaste à l’idée de pouvoir présenter de nouveau un projet de loi semblable et de terminer le travail afin de protéger le modèle agricole québécois.

Le député mentionne que beaucoup de travail reste à faire pour assurer l’avenir de nos entreprises agricoles et agroalimentaires : « L’agriculture d’ici est peu soutenue en comparaison de ce qui se fait à l’étranger et nous devons remédier à la situation. Nous devons accroître notre autonomie alimentaire en augmentant, entre autres, la capacité de transformation régionale. Nous devons établir aussi un véritable partenariat environnemental avec nos producteurs en soutenant directement les pratiques innovantes qui réduisent l’empreinte écologique du processus. Il faut aussi nous assurer que les produits qui proviennent de l’étranger respectent les mêmes normes que nos produits locaux : c’est une question d’équité pour notre monde. » Yves Perron projette de poursuivre les consultations régulières avec le monde agricole afinde demeurer connecté sur les enjeux concrets du terrain.

 

Source;

François Robert,   Adjoint parlementaire,   Bureau du député Yves Perron, Berthier-Maskinongé,  Porte-parole en agriculture, agroalimentaire et gestion de l’offre.

Quatre priorités du Bloc pour maximiser la filière forestière: La relance des régions et du Québec carbure à l’énergie verte des forêts

 

Louiseville, 30 juin 2021 – Yves-François Blanchet, chef du Bloc Québécois et Yves Perron, député de Berthier-Maskinongé, unissent leur voix à celles des représentants de l’industrie forestière régionale ainsi qu’à celles de huit autres régions forestières du Québec, afin d’inciter Ottawa à cesser de soutenir les énergies fossiles polluantes et à entreprendre dès maintenant un changement de cap majeur à la faveur des énergies bio forestières à faible émission de GES. Pour réaliser cette nécessaire transition, le Bloc Québécois met de l’avant quatre priorités visant à maximiser la filière forestière.

Le chef Yves-François Blanchet et le député Yves Perron estiment qu’au moment où la réduction des GES est un enjeu qui ne peut plus être ignoré, les biocarburants et autres produits innovants issus de la recherche et de la transformation du bois constituent une voie extrêmement porteuse pour la relance économique du Québec.

CITATIONS

« Il y a plusieurs décennies, le Québec a emprunté le virage de l’énergie propre, devenant un chef de file mondial de la production d’hydroélectricité. Aujourd’hui, l’échéance climatique force l’abandon des énergies fossiles au profit de carburants et produits innovants, à faibles émissions de GES. Forestier de par nature, l’État québécois foule les pistes novatrices de la transformation des rebuts du bois depuis plusieurs années. Il s’agit d’un secteur de pointe sur lequel nos régions peuvent arrimer leur développement économique »,  Yves-François Blanchet, chef du Bloc Québécois.

« Le potentiel que représente notre secteur forestier est une chance en or pour la relance post-COVID. C’est en ce sens que plusieurs élus ainsi que les représentants et représentantes du milieu issus de neuf régions forestières du Québec ont joint leur voix à la nôtre pour établir quatre priorités qui nous permettront d’atteindre la maximisation de la filière forestière. Nous avons tout ce qu’il faut pour développer ce secteur qui assurera une relance économique verte. Nous défendrons ces revendications à Ottawa jusqu’à ce que le gouvernement fasse sa juste part »,« Il est plus qu’urgent que les gouvernements investissent intelligemment dans les ressources renouvelables à notre disposition. Le Québec dispose d’une grande richesse forestière, une ressource verte et renouvelable. Il n’est pas question de couper plus de forêts. Mais bien de mieux valoriser la matière qui est déjà extraite. Cette magnifique ressource nous permet à la fois de limiter les GES et de stimuler l’économie de nos régions. Soyons visionnaires, puis développerons la deuxième et troisième transformation pour un Québec vert et prospère »,  Yves Perron, député de Berthier-Maskinongé..

Voici les quatre priorités à mettre de l’avant pour maximiser la filière forestière :

1. Mettre en œuvre une politique d’approvisionnement public qui favorise l’utilisation des produits du bois, notamment en établissant l’empreinte carbone comme critère d’octroi des contrats ;
2. Accroître les budgets de recherche fondamentale et le développement d’une chaîne de valeur pour la deuxième et troisième transformation des ressources forestières, via le programme d’Investissements dans la transformation de l’industrie forestière (ITIF), afin de soutenir l’émergence d’une grappe industrielle en bioéconomie au Canada ;
3. Profiter de l’arrivée de la nouvelle administration à la Maison-Blanche afin d’obtenir une pleine exemption de tout tarif sur les exportations de bois d’œuvre québécois à destination des États-Unis et s’assurer que le développement de l’industrie forestière soit défini comme une priorité du gouvernement canadien compte tenu de son fort potentiel économique et de son rôle incontournable en matière de lutte contre les changements climatiques ;
4. Identifier les moyens d’accroître la productivité liée à la croissance annuelle des forêts dans le respect des compétences du Québec. Le fédéral doit notamment n’appliquer la Loi sur les espèces en péril qu’en conformité avec les orientations de l’Assemblée nationale du Québec.

« Le milieu s’est prononcé et a déterminé lui-même ses priorités pour la relance de l’industrie forestière. Ottawa doit désormais contribuer et investir dans ce secteur porteur d’avenir. La relance post-COVID doit être l’occasion d’enfin amorcer la transition de notre économie de manière à répondre aux défis de la crise climatique. Nous avons la chance de compter sur des entreprises dynamiques et ingénieuses qui désirent développer de nouvelles technologies, mais qui ont cruellement besoin de support financier pour réaliser leurs projets. Il est plus que temps qu’Ottawa investisse massivement dans cette industrie selon les priorités déterminées par les acteurs du milieu et les besoins de ceux-ci », a conclu Yves Perron

 

Source :  Julie Boucher, Bureau Yves Perron, député de Berthier-Maskinongé .

Yves Perron au service du Québec et de Berthier-Maskinongé

Louiseville, mercredi 23 juin 2021 – Yves Perron dresse un bilan de session extrêmement positif pour le Québec, au cours de laquelle le Bloc Québécois a fait des gains historiques et défendu fièrement la nation québécoise à Ottawa. Défendre la nation, la langue française et la culture.
Tel que le stipule le chef Yves-François Blanchet, « Dans la dernière semaine uniquement, la Chambre a pris acte que le Québec pouvait s’inscrire dans la Constitution en tant que nation française, puis a voté en faveur de l’application de la Charte de la langue française aux entreprises sous juridiction fédérale. Ce sont deux gains importants pour le Québec à l’initiative du Bloc Québécois. Nous avons coupé les vivres au projet de commission pancanadienne des valeurs mobilières, auquel le Québec est vivement opposé depuis des décennies et nous avons permis l’adoption du projet de loi C-10 sur le soutien à la culture, pour lequel seuls le Québec et son milieu culturel étaient prêts à se battre. Le Bloc Québécois a fièrement défendu la nation québécoise, quotidiennement transformé l’ordre du jour à Ottawa et fait des gains dans les dossiers prioritaires du Québec ».

Proche des priorités de la population

« Nous avons rallié la Chambre des communes en faveur d’une hausse de la pension de vieillesse de 110$ de tous les 65 ans et plus, contre la volonté du gouvernement de créer deux classes d’aînés. Nous avons également obtenu l’appui des parlementaires à notre projet de Loi d’Émilie Sansfaçon à la nécessité de faire passer les prestations de maladie de l’assurance-emploi à 50 semaines. Le gouvernement n’a pas encore plié, mais nous n’abandonnerons jamais ces combats », a déclaré Yves Perron.

Interventions constructives en temps de pandémie

Le Bloc Québécois est intervenu à maintes reprises pour corriger les lacunes dans la gestion de la crise sanitaire, entre autres en exigeant la suspension de vols provenant de pays aux prises avec de nouveaux variants et l’interdiction de financer les quarantaines des touristes du temps des Fêtes aux frais des contribuables.

« Nous étions là pour protéger la sécurité de la population, mais aussi pour l’aider à traverser la crise. Nous avons travaillé d’arrache-pied pour faire adapter les programmes fédéraux aux différents types de travailleurs du Québec, notamment les travailleurs autonomes, ainsi qu’aux
différents modèles de PME. Nous avons également obtenu gain de cause afin que les compagnies aériennes remboursent leurs clients pour les vols annulés si elles veulent de l’aide à même les fonds publics. Évidemment, nous avons aussi protégé les contribuables en mettant fin à l’octroi gouvernemental de généreux contrats sans appel d’offres aux proches des libéraux, comme lors du scandale WE Charity », a poursuivi Yves Perron.

Yves Perron et le dossier agriculture et agroalimentaire

« L’appui du Bloc aux producteurs agricoles est indéfectible : nous en avons fait une condition de notre appui au budget, en plus de défendre un projet de loi mettant fin aux brèches dans la gestion de l’offre. Ce dossier est bien avancé et j’espère bien le faire cheminer encore! » précise Yves Perron.

Il a aussi coparrainé un projet de loi sur le transfert intergénérationnel des fermes qui a été adopté par le Sénat le 22 juin. « C’est un moment historique pour nos fermes et toutes nos entreprises familiales. Cela représente la fin d’une injustice fiscale et une belle preuve qu’on travaille pour améliorer la vie de notre monde. Je suis très heureux d’avoir apporté ma contribution à ce changement important. »

Yves Perron a aussi fait des pressions constantes afin qu’Ottawa règle le fiasco des travailleurs étrangers temporaires et a notamment obtenu que le fédéral retire à l’entreprise Switch Health la gestion des tests de dépistage. « Quand on travaille sans relâche et que ça donne des résultats, c’est motivant et on sent qu’on peut faire une différence pour notre monde ». Le député mentionne également qu’il travaille quotidiennement pour améliorer les choses dans  l’industrie agroalimentaire, entre autres en réclamant une augmentation du pourcentage de travailleurs étrangers admissibles dans ce secteur. « La pénurie de main-d’œuvre était déjà présente avant la crise et il faut aider nos entreprises. C’est aussi pour cette raison que nous avons tellement insisté auprès du gouvernement pour rendre la PCU incitative au travail. »

Une différence pour Berthier-Maskinongé

Le travail efficace du Bloc Québécois amène des résultats concrets pour la circonscription. Le député mentionne entre autres : « Nos demandes pour qu’Ottawa transfère les sommes prévues pour le branchement internet au gouvernement du Québec ont finalement porté fruit et l’échéance des branchements s’en trouve devancée. De plus, les pressions exercées avant le budget ont fait en sorte qu’un nouvel engagement a été pris envers les victimes de la pyrrhotite dans le dernier budget », mentionne Yves Perron.

« En plus des nombreux cas de circonscription dans lesquels nous sommes intervenus, nous tentons de venir en soutien aux différents organismes de la circonscription dans la mesure de nos moyens. Chaque petit geste est important et notre équipe se veut présente et positive pour la circonscription. »  Le député mentionne aussi avoir des projets en cours qu’il a hâte de faire progresser. «J’ai entamé une mobilisation pour obtenir des actions concrètes du fédéral quant à l’érosion des berges et je veux poursuivre le travail pour que le fédéral appuie davantage les efforts de transformation régionale. Certains dossiers sont sur le long terme, mais on y travaille. »

Fiable et fier, au travail pour le Québec

Yves Perron est fier du travail accompli et est impatient de poursuivre le travail. « On a pris l’engagement de travailler pour notre monde, au quotidien. Le Bloc Québécois et son chef Yves-François Blanchet portent la voix du Québec et fait une énorme différence à Ottawa. On
remplit nos engagements et on va continuer de le faire », a conclu Yves Perron.

 

Source : Julie Boucher, Bureau du député de Berthier-Maskinongé Yves Perron.

Le député de Berthier-Maskinongé, Yves Perron, salue le vote de la part de tous les partis fédéraux confirmant la légitimité de la démarche d’affirmation entreprise par le Québec dans le cadre de l’étude de son projet de loi 96. L’immense majorité de la Chambre des communes a voté en faveur de cette motion présentée par M. Blanchet, seuls deux élus s’y sont opposés. « Que cette Chambre convienne que l’article 45 de la Loi constitutionnelle de 1982 confère au Québec et aux provinces la compétence exclusive pour modifier leurs constitutions respectives; et prenne acte de la volonté du Québec d’inscrire dans sa constitution que les Québécoises et les Québécois forment une nation, que le français est la seule langue officielle du Québec et qu’il est aussi la langue commune de la nation québécoise » a déclaré le chef du Bloc Québécois, Yves-François Blanchet.  Le député de Berthier-Maskinongé, Yves Perron se réjouit de cette reconnaissance par la Chambre.

Citations:

« Aujourd’hui, la Chambre des communes prend acte par ce vote historique que le Québec inscrira dans la Constitution que les Québécoises et les Québécois forment une nation dont la seule langue officielle et commune est le français. Ce constat des élus fédéraux devra désormais dicter les décisions du gouvernement canadien, qui devra respecter le droit légitime du Québec d’être maître d’œuvre de ses politiques nationales, entre autres en matière linguistique et dans ses choix de société » le chef du Bloc Québécois, Yves-François Blanchet.

« Le Québec n’avait évidemment pas besoin de l’aval du Parlement canadien pour former une nation francophone et pour le proclamer. Mais l’Assemblée nationale du Québec a aujourd’hui davantage les coudées franches pour mettre en place des lois qui correspondent aux choix démocratiques de la nation québécoise et à ses consensus. Le fédéral, de son côté, devra en toute logique s’abstenir de contester, participer à une contestation ou remettre en question les choix légitimes de la nation québécoise et de son Assemblée nationale », a conclu Yves Perron.

Source :

Julie Boucher, Bureau du député de Berthier-Maskinongé, Yves Perron.