N’oublions pas les secteurs propres au Québec

Ottawa, le 10 mars 2025 – Les députés bloquistes Luc Thériault et Gabriel Ste-Marie ont réagi aujourd’hui à l’annonce du gouvernement fédéral de mettre en place un programme venant en aide aux entreprises et aux travailleurs du Québec et du Canada, face au contexte de guerre tarifaire.

Le Bloc qui avait invité le gouvernement fédéral à s’aligner sur la réponse rapide de Québec en matière d’aide aux entreprises, se réjouit de cette annonce.

« Dans la situation présente où le président Trump persiste à s’en prendre à ses principaux partenaires commerciaux, mettre en place des mesures pour protéger les secteurs propres au Québec était une priorité. Le gouvernement du Québec a rapidement lancé un programme similaire dans les derniers jours et nous sommes heureux que le fédéral lui ait emboîté le pas. Il en va de notre stabilité économique, mais aussi des revenus de milliers de Québécoises et de Québécois. En ce sens, les changements mis en vigueur au Programme de travail partagé de l’assurance-emploi sont également une bonne nouvelle, permettant aux employeurs faisant face à des difficultés financières d’éviter de licencier du personnel », soutient le député de Joliette, Gabriel Ste-Marie.

« Dans un contexte de forte incertitude économique, notre priorité doit être que les intérêts supérieurs du Québec ne soient pas oubliés. Nos entreprises et notre milieu agricole sont des atouts essentiels, une fierté qui font du Québec un joueur incontournable sur le continent, nous devons veiller à ce que leur voix soit entendue et que quelqu’un parle pour eux. L’agriculture, l’aluminium, les minéraux stratégiques ou le bois du Québec sont aux premières lignes et nous devons veiller à ce qu’ils soient protégés. Dans ce contexte difficile, le Bloc s’engage à travailler sans relâche pour nos industries, nos ressources, nos PME et les emplois de notre monde, sans oublier les aînés, particulièrement touchés par la baisse du pouvoir d’achat », conclut le député de Montcalm, Luc Thériault.

Source :

Myriam Côté, Responsable des communications pour Luc Thériault
Mélissa Mayer, Responsable des communications pour Gabriel Ste-Marie

Plus de 300 personnes réunies pour l’occasion!

Yamachiche, le 10 février 2025 – Ce dimanche, la salle du Cabaret Lac St-Pierre était comble pour l’investiture de Yves Perron qui se présente pour un nouveau mandat dans la circonscription de Berthier-Maskinongé. Membres du Bloc Québécois, sympathisants et députés bloquistes de régions avoisinantes étaient présents au rendez-vous, qui a rassemblé plus de 300 personnes.

L’investiture a été une excellente occasion pour démontrer l’appui marqué pour le député sortant et aussi pour donner le ton à la campagne électorale à venir. Le chef du Bloc Québécois, M. Yves-François Blanchet, était d’ailleurs sur place pour faire une allocution en soutien à M. Perron, récemment nommé whip de la formation bloquiste et pour commenter l’actualité politique, marquée par les discussions sur les tarifs du président des États-Unis:

« Le Québec de 2025, confronté à un partenaire commercial devenu menaçant, a besoin de confiance. Nos adversaires vont en profiter pour menacer l’agriculture, l’environnement, le français ou la laïcité. Les Québécois devront avoir confiance en eux-mêmes, mais confiance aussi en ceux qui les représentent. La confiance, c’est toute l’histoire de ma relation avec Yves Perron », a expliqué le chef du Bloc Québécois.

Le député de Nicolet-Sorel-Bécancour, M. Louis Plamondon, et le député de Joliette, Gabriel Ste-Marie, ont aussi témoigné de l’excellent travail parlementaire et local de M. Perron. Le doyen de la Chambre des communes avait de très bons mots pour son collègue:

« Yves accomplit un travail remarquable. Il a réussi à rassembler tout le monde agricole et tous les partis politiques sur la colline parlementaire pour pousser le projet de loi sur la gestion de l’offre. Je me souviens de l’air ébahi d’un journaliste anglophone qui était présent ce jour-là. Ça voulait tout dire! », a résumé M. Plamondon.

« Mon député préféré et moi avons commencé notre implication en politique il y a plusieurs années. Yves, c’est un militant engagé, il s’investit à fond et il le fait avec cœur. Il s’impliquait partout dans sa carrière de prof, il n’avait pas de vie et c’est avec cette même passion qu’il fait pareil aujourd’hui! », a blagué M. Ste-Marie.

M. Perron était très touché par la foule monstre qui s’est présentée pour son investiture:

« La salle était tellement pleine que certains sont restés debout pour assister à l’événement! C’est une bouffée d’amour que j’ai reçu de la part des citoyens de ma circonscription, de maires et de mairesses, des militants, de mes collègues et de mon chef. Je suis vraiment touché qu’autant de gens se soient déplacés pour l’occasion. Cette reconnaissance m’a donné une bonne dose de carburant pour la campagne électorale qui s’en vient! »

Source :

Sophy Forget Bélec, Coordonnatrice à l’organisation, Bloc Québécois

En Bloc malgré le chaos parlementaire!

Louiseville, 18 décembre 2024 – Le député de Berthier-Maskinongé, Yves Perron est fier du travail accompli cette session-ci, qu’il s’agisse de celui sur son dossier de porte-parole que celui de sa formation politique en général. Alors que le gouvernement de Libéraux s’effondre par gros morceaux, le dernier étant la démission de la ministre des Finances, le Bloc Québécois est demeuré l’adulte dans la pièce.

« C’est incroyable de voir qu’à travers toutes les formations politiques siégeant à la Chambre des communes, la seule ayant été constante, rigoureuse et mature est celle formée par des indépendantistes. Nous sommes les seuls dans ce Parlement à ne pas vouloir gouverner le Canada et pourtant, les autres formations politiques nous ont démontré dans le chaos actuel qu’elles n’avaient pas les aptitudes pour le faire. Et maintenant, pour en rajouter sur la session peu reluisante du gouvernement, le départ de Chrystia Freeland s’ajoute à celui de huit autres ministres et à la mutinerie de dizaines de députés libéraux. Justin Trudeau a perdu le contrôle de son équipe ministérielle et n’a plus la légitimité pour gouverner sans que la population lui confie un nouveau mandat. Il doit déclencher des élections », explique M. Perron.

« Grâce à nous, les intérêts du Québec ont été mis de l’avant toute la session automnale. On a défendu avec conviction nos aînés, on a demandé des comptes pour une immigration responsable et réussie pour assurer la dignité des gens qui reviennent faire leur vie ici, on a rassemblé près de 250 entrepreneurs agricoles sous gestion de l’offre sur la Colline. Sérieusement, ce qu’on a accompli est impressionnant! Quand on y pense, les seuls projets de loi qui auront retenu l’attention à Ottawa et dans les médias cette session-ci sont ceux du Bloc Québécois. Pour tout cela, je suis fier du travail accompli », affirme Yves Perron.

L’avancée du projet de loi C-282 est cependant toujours ralentie par plusieurs sénateurs, et ce, en date de mardi. Alors que les sénateurs Harder et Boehm avaient promis de ne pas faire d’obstruction, certains de leurs collègues, tous groupes de sénateurs confondus, on reprit le flambeau pour s’assurer de tuer le projet de loi. En dansant avec diverses tactiques de procédure et en négociant de façon malhonnête, ils auront réussi à repousser la tenue du vote après les Fêtes.

« C’est vraiment frustrant comme situation, parce que le Sénat n’a pas d’échéancier ou de règles strictes pour encadrer ses travaux, contrairement à la Chambre des communes. Cela permet à des gens qui s’opposent aux divers projets de loi des élus de gagner du temps pour les faire mourir au feuilleton, sans porter l’odieux de s’opposer à la volonté des députés qui représentent la population. Il y a quelque chose de profondément antidémocratique dans la façon de faire de cette institution. Ces sénatrices et sénateurs manquent gravement de respect à ceux qui se lèvent tôt le matin, du lundi au dimanche, pour nourrir notre population. C’est à leur système qui permet à tout le monde d’avoir un prix juste et équitable que des personnes non élues s’attaquent. Il faudra définitivement faire monter la pression », conclut le porte-parole en matière d’agriculture, d’agroalimentaire et de gestion de l’offre.

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Thierry Vadnais-Lapierre, Adjoint parlementaire.

Yves Perron nommé whip du Bloc Québécois.

Ottawa, le 13 décembre 2024 – Après cinq ans à occuper le rôle de whip, la députée de Salaberry—Suroît, Claude DeBellefeuille, passe le flambeau à Yves Perron, député de Berthier—Maskinongé.

Le chef du Bloc Québécois, Yves-François Blanchet n’avait que de bons mots pour son nouveau whip lors de l’annonce : « Je connais Yves depuis les touts débuts de ma réflexion en vue de venir au Bloc Québécois. Il était alors président du parti, et ce n’était pas facile! Une complicité solide s’est alors construite entre nous, que les 5 dernières années ont enrichie d’une vaste expérience. Yves était un choix naturel pour coordonner les travaux d’une équipe qui l’apprécie beaucoup. »

Il sera assermenté dans sa nouvelle fonction lundi prochain, après l’annonce faite jeudi dernier par le Bloc Québécois.

M. Perron considère qu’il a de grands souliers à chausser : « Sans tenter de la remplacer, je tâcherai d’assurer une suite cohérente au travail de cette grande femme politique qu’est Claude DeBellefeuille. C’est aussi un grand signe de reconnaissance et de confiance que je reçois de mon chef, Yves-François Blanchet. Je remplirai mes nouvelles fonctions avec le degré de responsabilité et de rigueur qu’elles demandent. »

Il est à noter que M. Perron conserve tout de même son rôle de porte-parole en matière d’Agriculture, d’Agroalimentaire et de Gestion de l’offre.

« Mon combat sur C-282, qui protégera notre système de gestion de l’offre, n’est pas terminé et j’ai bien l’intention de le mener jusqu’au bout. Le Sénat prend beaucoup de temps pour boucler les dernières étapes qui mèneront à son adoption finale et mon équipe, mes alliés et moi continuons le travail en coulisses, pour assurer que le projet de loi traverse le processus législatif. C’est l’engagement que j’ai pris avec les producteurs agricoles qui nous appuient dans nos démarches depuis le début », explique Yves Perron.

Un vote important était d’ailleurs censé se tenir hier, en soirée, au Sénat, sur l’amendement dénaturant complètement le projet de loi. Malheureusement, les sénateurs du Parti conservateur ont employé différentes tactiques pour reporter le vote, situation qui a semblé faire l’affaire de plusieurs sénateurs nommés par Justin Trudeau. Le vote n’a donc pas eu lieu, mais le Bloc Québécois continuera de mettre la pression nécessaire jusqu’à l’adoption finale de C-282.

Source :

Thierry Vadnais-Lapierre, Adjoint parlementaire.

Pas question de saboter la gestion de l’offre!

Ottawa, le 7 novembre 2024 – Le porte-parole du Bloc Québécois en matière d’Agriculture, d’Agroalimentaire et de Gestion de l’offre, Yves Perron, Simon-Pierre Savard-Tremblay, porte-parole en matière de Commerce international ainsi que le porteur du projet de loi C-282, Luc Thériault, s’élèvent catégoriquement contre l’intention d’un comité sénatorial d’apporter des amendements sabotant le projet de loi du Bloc Québécois sur la Gestion de l’offre, alors que son contenu a été intégralement approuvé par tous les partis représentés à la Chambre des communes. Le Bloc Québécois invite l’ensemble du Sénat à rejeter ce sabotage.

« Nous dénonçons depuis de nombreuses semaines le parti pris et le manque d’impartialité de certains membres du comité sénatorial du commerce international. Ils nous ont confirmé hier qu’ils n’ont qu’une seule intention depuis le début de l’étude : tuer le projet de loi », dénonce Yves Perron.

« Les amendements du comité auraient pour effet de tout bonnement détruire la portée du projet de loi. En le modifiant afin qu’il ne s’applique pas aux ententes existantes lors de leur renégociation et à toute entente qui serait en cours de négociation, l’intention du projet de loi serait complètement annulée. De plus, les amendements déposés permettraient notamment de céder davantage de parts de marché dans l’ACEUM, alors même que celui-ci sera renégocié en 2026. Pour nous, c’est inacceptable », dénonce Luc Thériault.

« Amender le projet de loi de cette façon, c’est carrément annoncer à nos producteurs que nous allons encore les sacrifier. C’est les empêcher de vivre de leur production et de continuer à nourrir notre population. C’est aussi leur dire de cesser tout investissement dans leur entreprise : on ne peut pas laisser faire ça, surtout dans le contexte de l’élection américaine qui pourrait mettre en péril notre modèle agricole », explique Simon-Pierre Savard-Tremblay.

Le député Perron s’en remet maintenant à l’ensemble des membres du Sénat pour refuser ce sabotage et rejeter le rapport du comité, respectant ainsi la volonté des élus de la Chambre des communes. « Maintenant que le projet de loi est libéré du contrôle des quelques individus qui s’y opposaient en comité, nous demandons à l’ensemble des membres du Sénat de rejeter les amendements et de respecter la volonté démocratique de la Chambre. Il en va du respect de notre démocratie et de l’avenir de notre modèle agricole. Nos producteurs n’en méritent pas moins », conclut Yves Perron.

Source :

Thierry Vadnais-Lapierre, Adjoint parlementaire

Les libéraux renient leur vote sur les aînés et cessent leurs efforts sur la gestion de l’offre.

Ottawa, 29 octobre 2024 – À l’échéance du délai accordé par le Bloc Québécois au gouvernement Trudeau pour rétablir l’équité envers les aînés de 65 à 74 ans et protéger la gestion de l’offre, le député de Berthier-Maskinongé, Yves Perron, était en point de presse pour accompagner le chef du Bloc Québécois, Yves-François Blanchet, avec la porte-parole en matière d’Aînés, Andréanne Larouche.

En conséquence du non-respect de la date butoir, le leader parlementaire du parti, Alain Therrien, a formellement avisé, par voie de lettre, les partis d’opposition que le Bloc appuiera les motions de défiance et votera contre le gouvernement lors des votes de confiance, à la condition bien sûr qu’ils soient présentés de manière qui ne soit pas hostile à l’identité et aux intérêts du Québec.

En effet, le Bloc Québécois avait donné au gouvernement fédéral jusqu’au 29 octobre 2024 pour s’assurer de la mise en œuvre définitive des projets de loi C-319 sur la hausse de 10% de la sécurité de la vieillesse des 65 à 74 ans ainsi que de C-282, qui exclut la gestion de l’offre dans les accords commerciaux internationaux futurs. Ces deux projets de loi avaient obtenu l’appui de tous les partis à la Chambre des communes.

« C’est hypocrite de la part des Libéraux de refuser que C-319 devienne loi, après avoir donné leur appui à l’étape du rapport. On répète que l’on continue de soutenir les aînés, mais que la mesure coûterait 3 milliards de dollars, que ça serait trop cher payé. Par contre, les Libéraux ne voient pas de problème avec les milliards de dollars de subventions à l’industrie pétrolière », explique Yves Perron.

Après avoir publiquement et à maintes reprises établi qu’il s’agissait d’une date butoir, le gouvernement n’a pas répondu aux exigences du Bloc Québécois, qui lui, tiendra parole. En refusant de faire adopter ces deux projets de loi malgré l’appui de tous les partis à la Chambre des communes, le gouvernement a tourné le dos aux aînés et aux agriculteurs. Il a fait la preuve qu’il est aujourd’hui nécessaire d’offrir aux Québécois la possibilité de revoir la composition de la Chambre des communes.

« D’ici le déclenchement, nous ne baisserons pas les bras. Nous poursuivons notre travail pour défendre les intérêts du Québec et faire progresser nos projets de loi. Je serai présent aux dernières séances d’étude de C-282 au Sénat. Sans l’ultimatum, je sais très bien que C-282 n’aurait pas autant progressé et c’est grave. L’autre Chambre joue souvent sur le temps pour laisser plusieurs projets de loi qui ne font pas leur affaire mourir au feuilleton : la gestion de l’offre en est un exemple frappant. C’est une entrave grave à la démocratie et au pouvoir législatif des députés élus. Je suis sûr de le voir être adopté très bientôt, sans quoi les sénateurs et le gouvernement devront s’expliquer. », conclut le député de Berthier-Maskinongé.

Source :

Thierry Vadnais-Lapierre, Adjoint parlementaire.

Rétablir un programme de protection des berges est nécessaire.

Louiseville, vendredi 25 octobre 2024 – Jeudi le 8 octobre dernier, la lutte de Yves Perron et de son collègue Xavier Barsalou-Duval, le porte-parole bloquiste en matière de transports, pour rétablir un programme de protection contre l’érosion des berges a franchi une étape qu’il juge encourageante alors qu’il y a eu un vote unanime à la Chambre des communes afin d’adopter le rapport du Comité permanent des transports sur l’érosion de berges.

Le rapport Réduire l’impact de la navigation commerciale sur l’érosion des berges dans le corridor des Grands Lacs et du Saint-Laurent contient six recommandations. La première vise à rétablir un programme de protection des berges dans les secteurs du fleuve où l’érosion serait causée de façon significative par l’augmentation du trafic maritime.

Rappelons à ce sujet qu’en 1993, le gouvernement fédéral aurait abandonné l’entretien d’ouvrages de protection existants, se limitant à la construction de nouveaux projets jusqu’à l’abolition du programme en 1998.

Pour rajouter à ce vote unanime, M. Perron a envoyé hier une lettre en collaboration avec son collègue à l’intention de la ministre des Transports, Anita Anand, du ministre de l’Environnement et du Changement climatique, Steven Guilbeault et de la ministre des Pêches, des Océans et de la Garde côtière, Diane Lebouthillier.

« Dans cette lettre, nous demandons aux ministres concernés d’établir un groupe de travail interministériel de concertation, qui viserait à assurer une coordination des activités et des travaux effectués ou prévus dans l’archipel du lac Saint-Pierre et du secteur Varennes-Verchères-Contrecœur. Nous avons appris, au fil de rencontres avec des experts de l’École de technologie supérieure (ÉTS) et du Laboratoire hydraulique environnemental de l’Institut national de recherche scientifique (INRS), que les constructions humaines servant à atténuer l’érosion doivent être réfléchies de façon à ne pas avoir des effets pervers plus loin sur le cours d’eau. C’est pour cette raison qu’une approche analytique et coordonnée doit être employée par les ministères qui effectuent des travaux », explique le député de Berthier-Maskinongé.

La réglementation de vitesse est aussi dans la ligne de mire des deux élus.

« L’intention louable du ministère de l’Environnement et du Changement climatique de créer une réserve nationale de faune est intéressante et prévoit entre autres mesures une limitation de la vitesse de 10 km/h dans les zones visées. Cette vitesse conviendrait assurément aux municipalités désirant implanter des limitations de vitesse pour les embarcations de plaisance. Une concertation régionale et une coordination des efforts pourraient permettre d’établir une zone plus large de limitation de vitesse qui protégerait encore davantage l’environnement et la faune », résume Yves Perron, dans la lettre adressée aux ministres.

Considérant l’absence de vision globale entre les divers acteurs gouvernementaux, M. Perron et M. Barsalou-Duval ont demandé une rencontre pour discuter des pistes possibles de solutions. Ils ont offert leur entière collaboration pour régler ce problème qui résulte d’une négligence du gouvernement fédéral depuis maintenant plus de 30 ans.

Source :

Thierry Vadnais-Lapierre, Adjoint parlementaire

5 ans au service de Berthier-Maskinongé.

Ottawa, mardi 22 octobre 2024 – Après déjà 5 ans à servir les gens de Berthier-Maskinongé, le député Yves Perron souhaite remercier les citoyens, de la circonscription, pour leur confiance.

« Cinq ans, ça passe vite! À chacune des journées de ces cinq ans, j’ai tenté de demeurer conscient du privilège qui m’est offert de pouvoir représenter nos gens au gouvernement. Il y a cinq ans, je me suis engagé à être à la hauteur de la confiance accordée et je garde ça en tête à chaque moment. », résume Yves Perron.

Au cours de ces années, plusieurs dossiers sur lesquels le député s’est engagé ont avancé. C’est notamment le cas de l’érosion des berges où une belle cohésion régionale a été créée pour faire bouger le dossier.

« Je suis heureux de voir les citoyens et plusieurs élus municipaux faire preuve d’un leadership impressionnant. Nous venons de faire adopter le rapport du comité permanent des transports qui recommandait de relancer le programme de protection des berges abandonné par le fédéral il y a longtemps. On maintient la pression et on finira par gagner! », explique le député.

L’enjeu de la couverture cellulaire a été aussi travaillé de façon constante. Nous avons sensibilisé les gens du CRTC à notre réalité régionale et nous commençons à voir des résultats. Des chantiers sont en cours et d’autres sont en planification.

« La machine gouvernementale bouge lentement, mais à force de persévérance, on commence à voir du mouvement. La couverture cellulaire sera bientôt améliorée et je salue les efforts de Québec dans ce dossier », développe M. Perron.

Au niveau de l’agriculture et de l’agroalimentaire, beaucoup a aussi été accompli. Le député a réussi à mettre à l’ordre du jour plusieurs études au Parlement pour sensibiliser le gouvernement sur l’enjeu des pollinisateurs ou sur le soutien aux agriculteurs pour l’adaptation aux changements climatiques en plus du projet de loi sur la gestion de l’offre qui est actuellement au Sénat.

Fier du travail accompli, M. Perron ne s’assied pas sur ses lauriers : « Il y a encore beaucoup à faire pour défendre les intérêts des gens de Berthier-Maskinongé. Au-delà de tous les dossiers sur lesquels je suis amené à travailler, je me garde du temps pour rencontrer les gens et participer à une foule d’événements. Parce que pour bien représenter nos gens, il faut bien les connaître! »

Malgré un budget limité, un soutien important est aussi apporté aux organismes du territoire qui comptera bientôt 37 municipalités.

« La distribution des ressources représente un défi, mais nous sommes parvenus à soutenir nos organismes communautaires et nos gens de façon adéquate. Ce sont de petits montants qui font toute la différence dans la plupart des cas », conclut le député de Berthier-Maskinongé

Source :

Thierry Vadnais-Lapierre, Adjoint parlementaire.

Une unanimité au Parlement et un appui soutenu des producteurs agricoles.

Louiseville, jeudi 17 octobre 2024 – La semaine dernière se tenait un rassemblement de plus de 200 entrepreneurs agricoles sous gestion de l’offre sur la Colline parlementaire, à l’initiative de Yves Perron, député de Berthier-Maskinongé et porte-parole en matière d’agriculture, d’agroalimentaire et de gestion de l’offre. Des producteurs de plusieurs régions, soit de Lanaudière, de Mauricie, de Montérégie, du Centre-du-Québec, des Laurentides et de l’Outaouais, ont répondu à l’appel à la mobilisation du député. Des producteurs d’autres provinces se sont aussi joints au rassemblement. Effectivement, l’Ontario, la Saskatchewan et même les Territoires du Nord-Ouest étaient entre autres représentés lors de l’événement, dont l’objectif était d’envoyer un message clair au Sénat, selon lequel tous sont derrière le système de gestion de l’offre et que celui-ci doit être protégé par le projet de loi C-282, piloté par Yves Perron.

« Des gens de partout au Québec étaient là, comme du reste du Canada. Ça démontre que lorsqu’on fait quelque chose de bien pour les Québécois, ça peut aussi intéresser les Canadiens », explique le député.

Accompagné de ses deux comparses, Luc Thériault, parrain du projet de loi et député de Montcalm et Simon-Pierre Savard-Tremblay, porte-parole bloquiste en matière de commerce international et député de Saint-Hyacinthe-Bagot, il a livré un discours sur fond d’unisson du secteur avec les parlementaires, puisque plusieurs députés de toutes les formations politiques de la Chambre des communes étaient là pour soutenir le message envoyé au Sénat. La ministre du Revenu et ex-ministre de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire, Marie-Claude Bibeau, le ministre actuel Lawrence MacAulay, le ministre de la Santé et lieutenant du Québec, Jean-Yves Duclos et la leader du gouvernement Karina Gould représentaient le Parti libéral. Les deux premiers ont pris la parole pour urger les sénateurs d’adopter le projet de loi, comme ce fut le cas pour Alistair MacGregor du NPD et Mike Morrice du Parti vert. Deux conservateurs, Jacques Gourdes et Richard Lehoux, étaient aussi présents pour soutenir l’initiative.

« J’ai dû faire plusieurs appels pour convaincre tous ces élus de se déplacer. Il faut dire que les sujets qui font l’unanimité chez tous les partis politiques canadiens sont rares, et les rassembler tous au même endroit dans un contexte de débats houleux en Chambre est tout un exploit. Je suis fier du travail accompli! Maintenant, le comité des Affaires étrangères et du commerce international du Sénat doit cesser de retenir C-282 et mettre aux voix le projet de loi », a martelé le député de Berthier-Maskinongé.

Des sénateurs se sont aussi justement déplacés pour le rassemblement. La sénatrice Gerba, marraine du projet, la sénatrice Mégie, le sénateur Forest et le sénateur Dalphond ont urgé le Sénat de procéder avec efficacité. M. Dalphond a tenu d’ailleurs à s’excuser au nom de l’institution pour le blocage du projet de loi depuis plus d’un an et s’est lui aussi adressé aux membres du comité des Affaires étrangères et du commerce international, leur demandant de prioriser la fin de l’étude de C-282 et de l’envoyer à la chambre sénatoriale, afin que tous les sénateurs puissent voter sur cet enjeu majeur pour l’agriculture au Québec et au Canada et pour notre sécurité alimentaire.

Source :

Thierry Vadnais-Lapierre, Adjoint parlementaire

Le Bloc somme le gouvernement !

Louiseville, vendredi 27 septembre 2024 – Cette semaine, Yves-François Blanchet, chef du Bloc Québécois, a rendu publiques, en compagnie entre autres de Yves Perron, les conditions en vertu desquelles il évitera de renverser le gouvernement minoritaire de Justin Trudeau avant Noël. Selon M. Perron, l’occasion de faire des gains pour les Québécois commande d’abord d’imposer des exigences et profiter du contexte pour, spécifiquement, améliorer le pouvoir d’achat des retraités amputé par le gouvernement de Justin Trudeau et assurer l’exclusion de la gestion de l’offre lors de futures négociations commerciales.

« Notre travail n’est pas de servir les Libéraux ni de remplacer Justin Trudeau par Pierre Poilièvre et ses Conservateurs. Le travail du Bloc, c’est de servir les intérêts des Québécoises et Québécois et de faire des gains pour eux. C’est ce qu’on fait présentement », a avisé le député de Berthier-Maskinongé.

Les projets de loi dont le chef du Bloc Québécois exige la mise en œuvre irréversible sont d’abord C-319 qui rétablit le pouvoir d’achat des retraités âgés de 65 à 74 ans qui reçoivent 10% de moins que ceux de plus de 75 ans. Une différence de 80$ par mois.

D’autre part, le Bloc exige que le projet de loi C-282, dont l’étude a débuté mercredi au Sénat après qu’il ait été embourbé depuis juin 2023, soit traité et mis en œuvre afin que la gestion de l’offre ne soit plus bradée lors des négociations commerciales. La démarche implique plusieurs étapes que le délai imparti par le Bloc Québécois permet de réaliser, selon le cas : votes en Chambre, recommandation royale, adoption au Sénat et sanction royale.

Si ces deux projets de loi ne sont pas établis en lois le 29 octobre 2024, ou à tout moment où il deviendrait certain que ces deux adoptions finales ne se produiront pas, le Bloc Québécois initiera des discussions avec les autres oppositions afin de renverser le gouvernement libéral de Justin Trudeau.

« L’étude du projet de loi C-282 au Sénat n’a commencé que plus d’un an après que les élus de la Chambre des communes l’ont envoyé aux sénateurs. J’ai témoigné au comité mercredi, en compagnie de mes collègues, le parrain du projet, Luc Thériault, et Simon-Pierre Savard-Tremblay, porte-parole en commerce international. Alors que presque 80% des députés, de toutes les formations politiques, ont appuyé C-282, plusieurs sénateurs se sont montrés hostiles au projet en remettant en question un système résilient qui garantit notre sécurité alimentaire de base. L’opposition et la remise en question est normale, mais nous sommes très inquiets qu’une étude sur l’Afrique se poursuive et entraîne une prolongation du délai de l’étude de C-282. Il nous semble évident que l’étude de C-282 devrait être faite en une séquence pour favoriser une adoption rapide. Un travail efficace et diligent doit être mené pour donner force de loi à la protection de la gestion de l’offre. Nous surveillons l’évolution des travaux de près, car l’un ne va pas sans l’autre. Tant C-319 que C-282 doivent être mis en œuvre pour que nos demandes soient considérées réalisées! », conclut Yves Perron.

Source :

Thierry Vadnais-Lapierre, adjoint parlementaire.